Les paroles de la chanson
« Rien qu'une chanson »
Charles Trenet
Rien qu’une chanson qui s’envole et s’en va dans le vent,
Rien qu’une musique, des paroles qu’on fredonne en rêvant
Mais son histoire est la même que la nôtre et nos cœurs
Ont besoin, pour y croire, de la vivre en chantant son bonheur.
Elle parle, parle, parle
De projet, de tendre avenir.
Elle grise la nuit grise.
Elle promet la joie, le plaisir.
Rien qu’une chanson de vingt ans qui s’envole, vole vers toi,
Rien qu’une romance de printemps
Qui m’affole sous mon toit,
Rien que trois notes qui reviennent me bercer chaque jour,
Rien qu’un air qui pianote dans mon cœur
Et qui chante notre amour.
Mais au deuxième refrain, tout change,
Et c’est étrange comme ma chanson
Devient triste et tourne morose.
Il ne reste du temps des roses
Plus rien que l’arrière-saison.
Rien qu’une chanson qui s’envole et s’en va dans le vent,
Rien qu’une musique, des paroles qu’on fredonne en rêvant,
Rien qu’une histoire comme la nôtre et qui tourne dans mon cœur,
Valse noire, valse des autres qui gémit et qui parle de malheur.
Elle pleure, pleure, pleure.
Elle répète ce que tu disais
Et, dans l’ombre, elle dénombre
Tour à tour nos anciens baisers
Et bien des gens qui la dansent ne savent pas, dans les bals,
Que sur son rythme, sa cadence,
Y a mon cœur qui a mal
Mais que leur importe si cet air qu’ils fredonnent si souvent
Chante ma joie, ma joie morte
Qui s’envole et s’en va dans le vent.
Rien qu’une musique, des paroles qu’on fredonne en rêvant
Mais son histoire est la même que la nôtre et nos cœurs
Ont besoin, pour y croire, de la vivre en chantant son bonheur.
Elle parle, parle, parle
De projet, de tendre avenir.
Elle grise la nuit grise.
Elle promet la joie, le plaisir.
Rien qu’une chanson de vingt ans qui s’envole, vole vers toi,
Rien qu’une romance de printemps
Qui m’affole sous mon toit,
Rien que trois notes qui reviennent me bercer chaque jour,
Rien qu’un air qui pianote dans mon cœur
Et qui chante notre amour.
Mais au deuxième refrain, tout change,
Et c’est étrange comme ma chanson
Devient triste et tourne morose.
Il ne reste du temps des roses
Plus rien que l’arrière-saison.
Rien qu’une chanson qui s’envole et s’en va dans le vent,
Rien qu’une musique, des paroles qu’on fredonne en rêvant,
Rien qu’une histoire comme la nôtre et qui tourne dans mon cœur,
Valse noire, valse des autres qui gémit et qui parle de malheur.
Elle pleure, pleure, pleure.
Elle répète ce que tu disais
Et, dans l’ombre, elle dénombre
Tour à tour nos anciens baisers
Et bien des gens qui la dansent ne savent pas, dans les bals,
Que sur son rythme, sa cadence,
Y a mon cœur qui a mal
Mais que leur importe si cet air qu’ils fredonnent si souvent
Chante ma joie, ma joie morte
Qui s’envole et s’en va dans le vent.