Les paroles de la chanson
« Rêves immoraux »
Patrick Juvet
Des statues de marbre font l’amour intégral
Sous les arbres, je marche nu, j’ai peur du scandale
Le parfum défunt d’un ange me dérange
C’est l’odeur du mal
Dans la nuit s’efface au loin la grâce
De deux garçons qui s’enlacent
Tout près de mon corps sans âme, se pâme une femme
A son pied, déesse vague, elle porte une bague
Au creux de son ventre, une fleur anormale
Et c’est la fleur du mal
Elle me fait tomber des nues
D’une caresse inconnue
Oh, je fais des rêves immoraux
Oui, je fais des rêves immoraux
Et je bois avec délice
Au supplice dans mon lit
Mon calice jusqu’à la lie
Oh, je fais des rêves immoraux
Oh oui, je fais des rêves immoraux
Je descends au fond d’un précipice
Où j’attends de subir les sévices
De l’enfer et de sa directrice
D’une arme ambiguë, soudain elle me transperce
Je pousse un cri aigu, elle me berce
Mon sang qui coule est d’une couleur fatale
C’est la couleur du mal
Entièrement nue contre mon corps
Elle me boit jusqu’à ma mort
Oh, je fais des rêves immoraux
Oui, je fais des rêves immoraux
On me couche, on me repeint la bouche
Mais le vent que la tempête apporte
Couvre ma tête de feuilles mortes
Oh, je fais des rêves immoraux
Suis-moi dans mes rêves immoraux
Tu verras le fond du précipice
Et tu y subiras les sévices
De l’enfer et de sa directrice
Oh, je fais des rêves immoraux
Oui, je fais des rêves immoraux
Et je bois avec délice
Au supplice dans mon lit
Mon calice jusqu’à la lie, la lie
Sous les arbres, je marche nu, j’ai peur du scandale
Le parfum défunt d’un ange me dérange
C’est l’odeur du mal
Dans la nuit s’efface au loin la grâce
De deux garçons qui s’enlacent
Tout près de mon corps sans âme, se pâme une femme
A son pied, déesse vague, elle porte une bague
Au creux de son ventre, une fleur anormale
Et c’est la fleur du mal
Elle me fait tomber des nues
D’une caresse inconnue
Oh, je fais des rêves immoraux
Oui, je fais des rêves immoraux
Et je bois avec délice
Au supplice dans mon lit
Mon calice jusqu’à la lie
Oh, je fais des rêves immoraux
Oh oui, je fais des rêves immoraux
Je descends au fond d’un précipice
Où j’attends de subir les sévices
De l’enfer et de sa directrice
D’une arme ambiguë, soudain elle me transperce
Je pousse un cri aigu, elle me berce
Mon sang qui coule est d’une couleur fatale
C’est la couleur du mal
Entièrement nue contre mon corps
Elle me boit jusqu’à ma mort
Oh, je fais des rêves immoraux
Oui, je fais des rêves immoraux
On me couche, on me repeint la bouche
Mais le vent que la tempête apporte
Couvre ma tête de feuilles mortes
Oh, je fais des rêves immoraux
Suis-moi dans mes rêves immoraux
Tu verras le fond du précipice
Et tu y subiras les sévices
De l’enfer et de sa directrice
Oh, je fais des rêves immoraux
Oui, je fais des rêves immoraux
Et je bois avec délice
Au supplice dans mon lit
Mon calice jusqu’à la lie, la lie