Les paroles de la chanson
« Rêve sidéral d'un naïf idéal »
Paul Personne
D’là haut on s’imagine,mais c’est moins drole vu d’ici
Du bout des lèvres et seulement quand on ose
On demande un peu d’respect et d’dignité
Pour qn’d’main l’aube elle s’illumine
Et qu’ d’la nuit au jour,tout c’qui dort s’métamorphose
Faut dire dire qu’à s’barrer y s’fait d’jà tard
Ou idéal c’est nulle part,
Cœurs en attente juste d’essentielles choses
Pas que de haine Pas que de haine
Hey r’garde,pas tous le temps usé sur la déroute
En témoin émigrant du jour passé où t’es encore vivant
Dans ce corps dingue de tout,buvant goutte à goutte.
En perfusion d’amour sous un soleil couchant.
Si seul’ment tu savais où on en est La tu t’tir’ais vite fait bien fait
Le temps s’fait long quand on attend autr’chose. Que de la haine
Que de la haine
Mais en cavale epuisé déçu de tout,gueulant sous la grand’ourse
Quand mon vieux sac troué d’espoir me crie : Hé alors p’tit gars t’as fait le tour
Faudrait penser aur’tour!
J’dis : J’ai cassé l’rétro, j’allume pleins phares l’av’nir.
Et j’regarde tout en haut,si on ecoute.
Ou si on s’en fou vraiment.
Sous mon ciel de lit gravéd’étoiles.
J’m’enroule en silence chaviré par le vent.
Dans l’rêve sidéral d’un naïf idéal.
Loin de la haine loin de la haine
Du bout des lèvres et seulement quand on ose
On demande un peu d’respect et d’dignité
Pour qn’d’main l’aube elle s’illumine
Et qu’ d’la nuit au jour,tout c’qui dort s’métamorphose
Faut dire dire qu’à s’barrer y s’fait d’jà tard
Ou idéal c’est nulle part,
Cœurs en attente juste d’essentielles choses
Pas que de haine Pas que de haine
Hey r’garde,pas tous le temps usé sur la déroute
En témoin émigrant du jour passé où t’es encore vivant
Dans ce corps dingue de tout,buvant goutte à goutte.
En perfusion d’amour sous un soleil couchant.
Si seul’ment tu savais où on en est La tu t’tir’ais vite fait bien fait
Le temps s’fait long quand on attend autr’chose. Que de la haine
Que de la haine
Mais en cavale epuisé déçu de tout,gueulant sous la grand’ourse
Quand mon vieux sac troué d’espoir me crie : Hé alors p’tit gars t’as fait le tour
Faudrait penser aur’tour!
J’dis : J’ai cassé l’rétro, j’allume pleins phares l’av’nir.
Et j’regarde tout en haut,si on ecoute.
Ou si on s’en fou vraiment.
Sous mon ciel de lit gravéd’étoiles.
J’m’enroule en silence chaviré par le vent.
Dans l’rêve sidéral d’un naïf idéal.
Loin de la haine loin de la haine