Les paroles de la chanson
« Répudiation de joséphine »
Napoléon
Joséphine frivole, coquette, dépensière
Et menteuse à la fois
Quand tu ne m’aimais pas
Je t’aimais comme un fou
Mon cœur était poussière
Et cendre entre tes doigts
Maintenant, je me fous
Que tu me trompes ou pas
Que tu couches avec l’un
Et puis l’autre à la fois
Leur offrant les parfums
Qui dorment entre tes bras
Et que tous leurs chevaux
Hennissent dans tes draps
Ça ne me fait ni chaud
Ni froid
Joséphine frivole, dépensière, coquette
Et tricheuse à la fois
Dieu sait dans quel état
Je fus! J’étais à bout
Mon cœur était en miettes
Il s’est brisé cent fois
Maintenant, je me fous
Que tu fasses un faux pas
En dansant avec l’un
Et puis l’autre à la fois
Laissant choir de ta main
Tous tes mouchoirs de soie
Peu me fait, peu me chaut
Qu’ils les ramassent ou pas
Ça ne me fait ni chaud
Ni froid
Joséphine dépensière, coquette, frivole
Et frileuse à la fois
Dès que tu avais froid
J’enrubannais ton cou
J’accrochais mon étoile
En guise de bijou
Maintenant, je me fous
Que tu aies froid ou pas
En sortant avec l’un
Et puis l’autre à la fois
Que tu meures de chagrin
Ou bien entre leurs bras
D’un rhume de cerveau
D’avoir jeté tes draps
Ça ne me fait ni chaud
Ni froid
Et menteuse à la fois
Quand tu ne m’aimais pas
Je t’aimais comme un fou
Mon cœur était poussière
Et cendre entre tes doigts
Maintenant, je me fous
Que tu me trompes ou pas
Que tu couches avec l’un
Et puis l’autre à la fois
Leur offrant les parfums
Qui dorment entre tes bras
Et que tous leurs chevaux
Hennissent dans tes draps
Ça ne me fait ni chaud
Ni froid
Joséphine frivole, dépensière, coquette
Et tricheuse à la fois
Dieu sait dans quel état
Je fus! J’étais à bout
Mon cœur était en miettes
Il s’est brisé cent fois
Maintenant, je me fous
Que tu fasses un faux pas
En dansant avec l’un
Et puis l’autre à la fois
Laissant choir de ta main
Tous tes mouchoirs de soie
Peu me fait, peu me chaut
Qu’ils les ramassent ou pas
Ça ne me fait ni chaud
Ni froid
Joséphine dépensière, coquette, frivole
Et frileuse à la fois
Dès que tu avais froid
J’enrubannais ton cou
J’accrochais mon étoile
En guise de bijou
Maintenant, je me fous
Que tu aies froid ou pas
En sortant avec l’un
Et puis l’autre à la fois
Que tu meures de chagrin
Ou bien entre leurs bras
D’un rhume de cerveau
D’avoir jeté tes draps
Ça ne me fait ni chaud
Ni froid