Les paroles de la chanson
« Repenti »
Renan Luce
Des spaghettis, d’la sauce tomate
Dans la banlieue nord de Dijon
J’ai choisi la voie diplomate
Qui m’a évité la prison
Ca fait vingt ans que je me cache
Et je pensais vivre bien moins
Le FBI remplit sa tâche
La protection d’un témoin
Repenti
J’ai trahi
J’aurais bien pu casser des pierres
Au pénitencier du Texas
Mais je me finis à la bière
Dans un PMU bien moins classe
Tous les soirs, on remplit mon verre
Et on rigole, on me salit
Quand je raconte les tours de verre
Ma vie à Little Italy
Repenti
J’ai trahi
Mafioso jusqu’au bout des ongles
J’suis dev’nu le poch’tron du coin
Quand les hommes de main de mon oncle
Recherchent Tony-Les-Deux-Poings
Dans les premiers mois de ma planque
J’ai cru qu’ma vie serait la même
En recréant ce qui me manque
De ma Sicile américaine
J’ai aidé quelques connaissances
Dans leurs querelles de voisinage
Deux trois corps imbibés d’essence
Quelques accidents de ménage
Repenti
J’ai trahi
Mafioso jusqu’au bout des ongles
J’suis dev’nu le poch’tron du coin
Quand les hommes de main de mon oncle
Recherchent Tony-Les-Deux-Poings
Mes p’tits voisins, des frères et soeurs
Me montraient leurs carnets de notes
Je rencontrais leurs professeurs
Et prélevais quelques quenottes
Mais aujourd’hui je suis trop vieux
Je m’occupe de mes hortensias
C’est étrange comme ils poussent mieux
Qu’ai-je bien pu donc enterrer là?
Repenti
J’ai trahi
Dans les fourrés quelque chose bouge
J’aperçois l’ombre d’un sniper
Sur ma poitrine une lumière rouge
Je t’attendais, je n’ai pas peur
Qu’on m’allonge sur mon lit
Sur mon coeur une fleur d’hortensia
Je vais revoir le Stromboli
Je vais oublier la mafia
Repenti
J’ai trahi
Repenti
J’ai trahi
Dans la banlieue nord de Dijon
J’ai choisi la voie diplomate
Qui m’a évité la prison
Ca fait vingt ans que je me cache
Et je pensais vivre bien moins
Le FBI remplit sa tâche
La protection d’un témoin
Repenti
J’ai trahi
J’aurais bien pu casser des pierres
Au pénitencier du Texas
Mais je me finis à la bière
Dans un PMU bien moins classe
Tous les soirs, on remplit mon verre
Et on rigole, on me salit
Quand je raconte les tours de verre
Ma vie à Little Italy
Repenti
J’ai trahi
Mafioso jusqu’au bout des ongles
J’suis dev’nu le poch’tron du coin
Quand les hommes de main de mon oncle
Recherchent Tony-Les-Deux-Poings
Dans les premiers mois de ma planque
J’ai cru qu’ma vie serait la même
En recréant ce qui me manque
De ma Sicile américaine
J’ai aidé quelques connaissances
Dans leurs querelles de voisinage
Deux trois corps imbibés d’essence
Quelques accidents de ménage
Repenti
J’ai trahi
Mafioso jusqu’au bout des ongles
J’suis dev’nu le poch’tron du coin
Quand les hommes de main de mon oncle
Recherchent Tony-Les-Deux-Poings
Mes p’tits voisins, des frères et soeurs
Me montraient leurs carnets de notes
Je rencontrais leurs professeurs
Et prélevais quelques quenottes
Mais aujourd’hui je suis trop vieux
Je m’occupe de mes hortensias
C’est étrange comme ils poussent mieux
Qu’ai-je bien pu donc enterrer là?
Repenti
J’ai trahi
Dans les fourrés quelque chose bouge
J’aperçois l’ombre d’un sniper
Sur ma poitrine une lumière rouge
Je t’attendais, je n’ai pas peur
Qu’on m’allonge sur mon lit
Sur mon coeur une fleur d’hortensia
Je vais revoir le Stromboli
Je vais oublier la mafia
Repenti
J’ai trahi
Repenti
J’ai trahi