Les paroles de la chanson
« Rencontre »
Frederik Mey
Chaque jour je la croisais dans ma rue
Et je m’y habituais simplement
Comme tout simplement on s’habitue
Aux choses qu’on voit souvent
Il y eut des jours où elle ne vint pas
Et comme je n’étais pas bien curieux
C’était à peine si je m’en rendais compte
Puis un jour je la regardais mieux
Elle m’aperçut et rougit un peu
Moi qui ne suis pas timide c’est certain
A cet instant je ne savais plus
Quoi faire de mes mains
J’ai toujours eu les chiffres en horreur
Le plus petit compte me fait souffrir
Mais de compter ses taches de rousseur
Ça m’aurait fait plaisir
J’ai vu sa bouche et j’espérais bien
Avoir le sourire ces jours prochains
Pour lui demander mille choses et son nom
J’ai pris mon courage à deux mains
Cherchant longtemps j’ai trouvé un prétexte
Pour lui parler le lendemain
Mais elle me répondit dans une langue
Dont je ne comprenais rien
Ce que j’ai compris ce fut son sourire
Dans son sourire je vis l’éclair
De ses dents blanches comme de la neige
Et un petit peu irrégulières
J’ai lu son nom écrit sur sa valise
Que je lui portais jusqu’à la gare
Puis je suis resté tout seul sur le quai
En agitant mon mouchoir
Puis je suis resté tout seul sur le quai
En agitant mon mouchoir
La la la la la la.........
Et je m’y habituais simplement
Comme tout simplement on s’habitue
Aux choses qu’on voit souvent
Il y eut des jours où elle ne vint pas
Et comme je n’étais pas bien curieux
C’était à peine si je m’en rendais compte
Puis un jour je la regardais mieux
Elle m’aperçut et rougit un peu
Moi qui ne suis pas timide c’est certain
A cet instant je ne savais plus
Quoi faire de mes mains
J’ai toujours eu les chiffres en horreur
Le plus petit compte me fait souffrir
Mais de compter ses taches de rousseur
Ça m’aurait fait plaisir
J’ai vu sa bouche et j’espérais bien
Avoir le sourire ces jours prochains
Pour lui demander mille choses et son nom
J’ai pris mon courage à deux mains
Cherchant longtemps j’ai trouvé un prétexte
Pour lui parler le lendemain
Mais elle me répondit dans une langue
Dont je ne comprenais rien
Ce que j’ai compris ce fut son sourire
Dans son sourire je vis l’éclair
De ses dents blanches comme de la neige
Et un petit peu irrégulières
J’ai lu son nom écrit sur sa valise
Que je lui portais jusqu’à la gare
Puis je suis resté tout seul sur le quai
En agitant mon mouchoir
Puis je suis resté tout seul sur le quai
En agitant mon mouchoir
La la la la la la.........