Les paroles de la chanson
« Rémusat »
Barbara
Vous ne m’avez pas quittée
Le jour où vous êtes partie.
Vous êtes à mes côtés
Depuis que vous êtes partie
Et pas un jour ne se passe,
Pas une heure, en vérité,
Au fil du temps qui passe
Où vous n’êtes à mes côtés.
Moi, j’ai quitté Rémusat
Depuis que vous êtes partie.
C’était triste, Rémusat
Depuis que vous n’étiez plus là
Et j’ai repris mes valises,
Mes lunettes et mes chansons
Et j’ai refermé la porte
En murmurant votre nom.
Sans bottines, sans pèlerine
Mais avec un chagrin d’enfant,
Je suis restée orpheline.
Que c’est bête, à quarante ans.
C’est drôle, jamais l’on ne pense
Qu’au-dessus de dix-huit ans,
On peut être une orpheline
En n’étant plus une enfant.
Où êtes-vous, ma nomade,
Où êtes-vous à présent?
Avec votre âme nomade,
Vous voyagez dans le temps
Et, lorsque les saisons passent,
Connaissez-vous le printemps,
Vous qui aimiez tant la grâce
Des lilas mauves et blancs?
Que vos étés se fleurissent
Dans votre pays, là-bas
Aux senteurs odorantes
D’une fleur de mimosa,
Que votre hiver se réchauffe
Au coin d’une cheminée,
Que les saisons vous soient douces.
Vous avez tant mérité.
Vous disiez : "Pas une larme"
Le jour où je n’y serai plus."
Et c’est pour vous que je chante,
Pour vous que je continue.
Pourtant, quand je me fais lourde,
Oh que j’aimerais poser
Mon chagrin à votre épaule
Et ma tête sur vos genoux.
Vous ne m’avez pas quittée
Depuis que vous êtes partie.
Vous m’avez faite orpheline
Le jour où vous êtes partie
Et je suis une orpheline
Depuis que vous m’avez quittée...
Le jour où vous êtes partie.
Vous êtes à mes côtés
Depuis que vous êtes partie
Et pas un jour ne se passe,
Pas une heure, en vérité,
Au fil du temps qui passe
Où vous n’êtes à mes côtés.
Moi, j’ai quitté Rémusat
Depuis que vous êtes partie.
C’était triste, Rémusat
Depuis que vous n’étiez plus là
Et j’ai repris mes valises,
Mes lunettes et mes chansons
Et j’ai refermé la porte
En murmurant votre nom.
Sans bottines, sans pèlerine
Mais avec un chagrin d’enfant,
Je suis restée orpheline.
Que c’est bête, à quarante ans.
C’est drôle, jamais l’on ne pense
Qu’au-dessus de dix-huit ans,
On peut être une orpheline
En n’étant plus une enfant.
Où êtes-vous, ma nomade,
Où êtes-vous à présent?
Avec votre âme nomade,
Vous voyagez dans le temps
Et, lorsque les saisons passent,
Connaissez-vous le printemps,
Vous qui aimiez tant la grâce
Des lilas mauves et blancs?
Que vos étés se fleurissent
Dans votre pays, là-bas
Aux senteurs odorantes
D’une fleur de mimosa,
Que votre hiver se réchauffe
Au coin d’une cheminée,
Que les saisons vous soient douces.
Vous avez tant mérité.
Vous disiez : "Pas une larme"
Le jour où je n’y serai plus."
Et c’est pour vous que je chante,
Pour vous que je continue.
Pourtant, quand je me fais lourde,
Oh que j’aimerais poser
Mon chagrin à votre épaule
Et ma tête sur vos genoux.
Vous ne m’avez pas quittée
Depuis que vous êtes partie.
Vous m’avez faite orpheline
Le jour où vous êtes partie
Et je suis une orpheline
Depuis que vous m’avez quittée...