Les paroles de la chanson
« Quitter paname »
Danakil
J’aspire à une vie posée, respirer,
me reposer sur des beats balancés,
Posés puis reposés.
Parcourir les allées,
les chemin, les sentiers,
Les grandes places de la vie,
J’en connais pas la moitié.
Me teletransporter,
Si loin que je ne pourrais plus matter
La pluie caresser les rues et leurs pavés.
En somme je veux quitter l’ambiance de Paname,
Capitale sympathique pour étudiants à la tramme.
Mais après c’est la grisaille qui reprend le dessus
La pluie sur son nuage,
le soleil nous a déçu.
On veut courir vers notre avenir,
Nager dans nos souvenirs.
Refrain :
J’irais cultiver ma peine en Terre Sacrée,
Loin de tout,
Loin de vous,
Pendant quelques années.
Des cascades bleues d’eau claire et de perles nacrées.
J’irais cultiver ma peine en Terre Sacrée.
Ici parfois,
Malgré mes efforts j’ai pas la force
Et je manque de poigne.
Alors je m’éloigne et le son me soigne
Dans ma tête
Les notes se mélangent et les basses lacèrent
Pas de trêve dans la musique malgré les basses allègres
Ici, même pour faire la fête c’est ce que je dis à l’entrée,
respirer, me reposer, comme je l’ai dit à l’intro.
On est bien où on est mais on peut voir le reste,
Le globe à plusieurs test
Paris par là, Paris par-ci, par-ci, par-là,
Paris qui croule sous les quatre saisons.
Paris qui brille un peu plus de son éclat,
Quand il nous ouvre d’autres horizons.
Refrain x2
me reposer sur des beats balancés,
Posés puis reposés.
Parcourir les allées,
les chemin, les sentiers,
Les grandes places de la vie,
J’en connais pas la moitié.
Me teletransporter,
Si loin que je ne pourrais plus matter
La pluie caresser les rues et leurs pavés.
En somme je veux quitter l’ambiance de Paname,
Capitale sympathique pour étudiants à la tramme.
Mais après c’est la grisaille qui reprend le dessus
La pluie sur son nuage,
le soleil nous a déçu.
On veut courir vers notre avenir,
Nager dans nos souvenirs.
Refrain :
J’irais cultiver ma peine en Terre Sacrée,
Loin de tout,
Loin de vous,
Pendant quelques années.
Des cascades bleues d’eau claire et de perles nacrées.
J’irais cultiver ma peine en Terre Sacrée.
Ici parfois,
Malgré mes efforts j’ai pas la force
Et je manque de poigne.
Alors je m’éloigne et le son me soigne
Dans ma tête
Les notes se mélangent et les basses lacèrent
Pas de trêve dans la musique malgré les basses allègres
Ici, même pour faire la fête c’est ce que je dis à l’entrée,
respirer, me reposer, comme je l’ai dit à l’intro.
On est bien où on est mais on peut voir le reste,
Le globe à plusieurs test
Paris par là, Paris par-ci, par-ci, par-là,
Paris qui croule sous les quatre saisons.
Paris qui brille un peu plus de son éclat,
Quand il nous ouvre d’autres horizons.
Refrain x2