Les paroles de la chanson
« Qui se souvient »
Blankass
Qui se souvient du père Martin,
De son vélo, ou de son chien?
Sa femme était saoule au matin
Lui c’était le prince des vauriens...
Qui se souvient de la mère Michel,
Du fils machin, de la fille untel,
De la ville c’était la plus belle
Avant qu’elle ne fasse les poubelles...
Qui se souvient, qui se souvient
Des jours anciens, des petits rien
Qui se souvient de ces matins
Où la gloire était dans nos mains
Qui s’en souvient, qui se souvient
Des vieux copains, des temps lointains
Qui se souvient de ces destins
Hors du commun, qui s’en souvient...
Qui se rappelle de ces moments
Où le temps s’arrêtait pour un temps
Et de ces nouveaux-nés d’antan
Qui sont de vieux morts maintenant...
De ce seigneur d’il y a mille ans
De sa femme, de son cheval blanc...
Peut-être qu’il aimait les enfants,
Peut-être avait-elle des amants...
Qui se souvient, qui se souvient
Des musiciens, des filles de rien,
Qui se souvient de ces refrains,
D’une première panoplie d’indien
Qui s’en souvient, qui se souvient...
Des vieux copains des temps lointains,
Qui se souvient de ces destins
Hors du commun, qui s’en souvient...
Qui revoit encore ce bistrot,
Des soirs de bière, des jours sans eau,
De cette rue et de ce jour froid,
Je t’ai vue pour la première fois...
Qui se souvient de ce crétin,
Des larmes qui coulaient sur tes mains
Qui se souvient de ce chagrin,
Je m’en souviens...
Qui se souvient, qui se souvient
De ceux qui sont restés plus loin,
Du vieux chemin, du vieux radin,
Du vieux voisin, qui s’en souvient?
Qui se souvient, qui se souvient
Des jours anciens, des petits riens,
Qui se souvient de ces matins
Où la gloire était dans nos mains...
De son vélo, ou de son chien?
Sa femme était saoule au matin
Lui c’était le prince des vauriens...
Qui se souvient de la mère Michel,
Du fils machin, de la fille untel,
De la ville c’était la plus belle
Avant qu’elle ne fasse les poubelles...
Qui se souvient, qui se souvient
Des jours anciens, des petits rien
Qui se souvient de ces matins
Où la gloire était dans nos mains
Qui s’en souvient, qui se souvient
Des vieux copains, des temps lointains
Qui se souvient de ces destins
Hors du commun, qui s’en souvient...
Qui se rappelle de ces moments
Où le temps s’arrêtait pour un temps
Et de ces nouveaux-nés d’antan
Qui sont de vieux morts maintenant...
De ce seigneur d’il y a mille ans
De sa femme, de son cheval blanc...
Peut-être qu’il aimait les enfants,
Peut-être avait-elle des amants...
Qui se souvient, qui se souvient
Des musiciens, des filles de rien,
Qui se souvient de ces refrains,
D’une première panoplie d’indien
Qui s’en souvient, qui se souvient...
Des vieux copains des temps lointains,
Qui se souvient de ces destins
Hors du commun, qui s’en souvient...
Qui revoit encore ce bistrot,
Des soirs de bière, des jours sans eau,
De cette rue et de ce jour froid,
Je t’ai vue pour la première fois...
Qui se souvient de ce crétin,
Des larmes qui coulaient sur tes mains
Qui se souvient de ce chagrin,
Je m’en souviens...
Qui se souvient, qui se souvient
De ceux qui sont restés plus loin,
Du vieux chemin, du vieux radin,
Du vieux voisin, qui s’en souvient?
Qui se souvient, qui se souvient
Des jours anciens, des petits riens,
Qui se souvient de ces matins
Où la gloire était dans nos mains...