Les paroles de la chanson
« Qui le saura »
Bénabar
Passent les RER, les trains à grande vitesse,
Sur le quai d’en face il semble que quelqu’un s’adresse à moi.
Les passagers vont et viennent, perdus dans des pensées,
Qui ressemblent aux miennes, on voudrait tous aller là bas.
Est-ce le vent dans les arbres, je reconnais ce bruit,
La pluie sur la fenêtre, des sanglots, des cris.
On appelle, mais qui le saura?
Le vacarme de la ville couvrira nos voix.
On rappelle qu’on était bien là,
Le temps nous cherche querelle efface nos traces de pas, déjà.
Ensuite on se répète ce qu’un jour nous leur dirons,
Quand nos phrases seront prêtes, ce sont eux qui ne seront plus là.
Nos bagages sont faits, plus rien à regretter,
On s’est dit qu’on partait, il ne reste plus qu’à trouver où ça.
Ce n’était peut-être que le bruit qui s’arrête,
L’assourdissante absence, le Silence.
On appelle, mais qui le saura?
Le vacarme de la ville couvrira nos voix.
On rappelle qu’on était bien là,
Le temps nous cherche querelle efface nos traces de pas, déjà.
On appelle, mais qui le saura?
Le vacarme de la ville couvrira nos voix.
On rappelle qu’on était bien là,
Le temps nous cherche querelle efface nos traces de pas.
On appelle, mais qui le saura?
Le vacarme de la ville couvrira nos voix.
On rappelle qu’on était bien là,
Le temps nous cherche querelle efface nos traces de pas, déjà.
Est-ce le vent dans les arbres, je reconnais ce bruit,
La pluie sur la fenêtre, des sanglots, des cris.
Ce n’était peut-être que le bruit qui s’arrête,
L’assourdissante absence, le Silence.
Sur le quai d’en face il semble que quelqu’un s’adresse à moi.
Les passagers vont et viennent, perdus dans des pensées,
Qui ressemblent aux miennes, on voudrait tous aller là bas.
Est-ce le vent dans les arbres, je reconnais ce bruit,
La pluie sur la fenêtre, des sanglots, des cris.
On appelle, mais qui le saura?
Le vacarme de la ville couvrira nos voix.
On rappelle qu’on était bien là,
Le temps nous cherche querelle efface nos traces de pas, déjà.
Ensuite on se répète ce qu’un jour nous leur dirons,
Quand nos phrases seront prêtes, ce sont eux qui ne seront plus là.
Nos bagages sont faits, plus rien à regretter,
On s’est dit qu’on partait, il ne reste plus qu’à trouver où ça.
Ce n’était peut-être que le bruit qui s’arrête,
L’assourdissante absence, le Silence.
On appelle, mais qui le saura?
Le vacarme de la ville couvrira nos voix.
On rappelle qu’on était bien là,
Le temps nous cherche querelle efface nos traces de pas, déjà.
On appelle, mais qui le saura?
Le vacarme de la ville couvrira nos voix.
On rappelle qu’on était bien là,
Le temps nous cherche querelle efface nos traces de pas.
On appelle, mais qui le saura?
Le vacarme de la ville couvrira nos voix.
On rappelle qu’on était bien là,
Le temps nous cherche querelle efface nos traces de pas, déjà.
Est-ce le vent dans les arbres, je reconnais ce bruit,
La pluie sur la fenêtre, des sanglots, des cris.
Ce n’était peut-être que le bruit qui s’arrête,
L’assourdissante absence, le Silence.