Les paroles de la chanson
« Quelques gouttes suffisent »
Arsenik
Je deale mes crimes au kilo, coupés sur le bloc,
Choc hostile comme un glock,
Au stylo distille avec style au micro la rage dans les blocs.
Claque les bloddclot, mate le beat, l’éclate à coups de lattes,
Atmosphères suspectes et lignes plates, ce morceau va faire date.
Mate la technique, et les stigmates sur les mecs,
J’nique batte au poing, ça se gate dans mon coin, J’tâte le terrain.
Gat, vocal L.I.N.O, CAL.B.O local fléau,
Focalise l’attention sur le poisson dans le bocal.
Guette le sultan, j’ai plus l’temps,
J’exporte mon culte en territoire ennemi,
Pour les beaufs c’est insultant.
Je gerbe du verbe mutant, acerbe luttant,
Parmi la mauvaise herbe, débute en rimes brutes et débitant sec.
Depuis l’temps qu’on discute, je t’en balance un chouïa,
Un truc, protège ta nuque quand j’éduque mes rhouyas.
Un bête de beat lourd comme Boo-ya,
Impec, un Shure SM58, pour la guérilla on fourre.
Scarlas doués, Dieu soit loué, voué à ma cause,
Un seul souhait, faire échouer leurs plans, le fouet claque,
Ton clan claque des seufs, un black neuf milli, un clic-clac,
Une flaque ta clique en simili craque.
Braque les spots, billy, sur moi et mes potes,
Illico raque pour mes tracks, mes délits, black machiavélique mac.
Lino attaque, allume un cierge pour ses ennemis,
Les vrai amis se font rares comme les pucelles rue st Denis.
J’rap mon calvaire du bon coté du revolver,
Et vole vers les sommets, survole la métropole.
Vers nucléaires versés à la manière du verseau,
Les flammes forment un cerceau,
Chez nous les tombes sont plus nombreuses que les berceaux.
Versatiles averses, style du reptile sur version,
Crée le doute dans les esprits, et laisse des silhouettes à la craie.
Je lutte contre mes mauvais penchants,
T’es dans le champ du viseur, du sabre le coté tranchant.
Le briseur d’os, le gosse cosmique, la rime atroce,
Micro big boss, Lino bosse et brosse le portrait
Féroce du mec frustré qui erre, du jeune en colère,
Qui veut des queche avec autant d’zéros que sur ses bulletins scolaires.
Je n’tolère plus, accepte le challenge, range ta merde,
Et dans les molaires, mange mon bouquet d’phalanges.
En l’air, lève ton bras et roule ton bedo,
Jeune fille roule ton bonda, seconde après seconde j’nédo.
Monte mon credo, ondes de choc, rimes profondes,
J’plaide au micro pour les mecs qui innondent les halls.
J’nédo, l’ex-gaule flippe quand j’parle de révolte,
Arsenik pour tous mes frères dans l’coltard, j’augmente les volts.
Recrache mon art et lâche tout, tu gaches mes mots,
Lâche, arrache toi minot, crache ou paie cash.
Mon flow clash, les faux se cachent et matent les dégats causés de loin,
Mache mes refrains, se gouachent sur mes lyrics.
Apaches, hache en main, se fachent en vain,
Bache pos
Choc hostile comme un glock,
Au stylo distille avec style au micro la rage dans les blocs.
Claque les bloddclot, mate le beat, l’éclate à coups de lattes,
Atmosphères suspectes et lignes plates, ce morceau va faire date.
Mate la technique, et les stigmates sur les mecs,
J’nique batte au poing, ça se gate dans mon coin, J’tâte le terrain.
Gat, vocal L.I.N.O, CAL.B.O local fléau,
Focalise l’attention sur le poisson dans le bocal.
Guette le sultan, j’ai plus l’temps,
J’exporte mon culte en territoire ennemi,
Pour les beaufs c’est insultant.
Je gerbe du verbe mutant, acerbe luttant,
Parmi la mauvaise herbe, débute en rimes brutes et débitant sec.
Depuis l’temps qu’on discute, je t’en balance un chouïa,
Un truc, protège ta nuque quand j’éduque mes rhouyas.
Un bête de beat lourd comme Boo-ya,
Impec, un Shure SM58, pour la guérilla on fourre.
Scarlas doués, Dieu soit loué, voué à ma cause,
Un seul souhait, faire échouer leurs plans, le fouet claque,
Ton clan claque des seufs, un black neuf milli, un clic-clac,
Une flaque ta clique en simili craque.
Braque les spots, billy, sur moi et mes potes,
Illico raque pour mes tracks, mes délits, black machiavélique mac.
Lino attaque, allume un cierge pour ses ennemis,
Les vrai amis se font rares comme les pucelles rue st Denis.
J’rap mon calvaire du bon coté du revolver,
Et vole vers les sommets, survole la métropole.
Vers nucléaires versés à la manière du verseau,
Les flammes forment un cerceau,
Chez nous les tombes sont plus nombreuses que les berceaux.
Versatiles averses, style du reptile sur version,
Crée le doute dans les esprits, et laisse des silhouettes à la craie.
Je lutte contre mes mauvais penchants,
T’es dans le champ du viseur, du sabre le coté tranchant.
Le briseur d’os, le gosse cosmique, la rime atroce,
Micro big boss, Lino bosse et brosse le portrait
Féroce du mec frustré qui erre, du jeune en colère,
Qui veut des queche avec autant d’zéros que sur ses bulletins scolaires.
Je n’tolère plus, accepte le challenge, range ta merde,
Et dans les molaires, mange mon bouquet d’phalanges.
En l’air, lève ton bras et roule ton bedo,
Jeune fille roule ton bonda, seconde après seconde j’nédo.
Monte mon credo, ondes de choc, rimes profondes,
J’plaide au micro pour les mecs qui innondent les halls.
J’nédo, l’ex-gaule flippe quand j’parle de révolte,
Arsenik pour tous mes frères dans l’coltard, j’augmente les volts.
Recrache mon art et lâche tout, tu gaches mes mots,
Lâche, arrache toi minot, crache ou paie cash.
Mon flow clash, les faux se cachent et matent les dégats causés de loin,
Mache mes refrains, se gouachent sur mes lyrics.
Apaches, hache en main, se fachent en vain,
Bache pos