Les paroles de la chanson
« Quelque part… c'est toujours ailleurs »
Pierre Bachelet
Ce soir là je me promenais avenue de l’Océan
C’était à l’heure des goélands
Et puis j’ai aperçu au bord
Ce grand oiseau bizarre
Encore
Prisonnier de ses amarres
Hey! Comment tu t’appelles?
Florence...
Mais, c’est un nom de ville, ça,
Avec des places, des églises, des Italiens
Qui mangent des glaces
Alors appelle moi Flo
Méfie-toi de la
Elle est dure comme la
Comme les hommes
Que l’on nomme
Aux frontières
Méfie-toi de la multitude
Il y a tant de solitude
Quelquefois quand je rêve au sud
Je reviens voir la mer
Quelques phares brillent dans le noir
Ton regard est rempli d’histoires
Le coeur est un voyageur
Quelque part c’est toujours ailleurs
Chaque soir est un jour qui pleure
Le coeur est un voyageur
Et toi comment tu t’appelles?
Pierre!
C’est un nom de caillou, ça,
A naufrager les bateaux
Et le vent nous apprend la vie
Les ouragans la mélancolie
Mais le coeur comme un cerf-volant
Va plus loin que le vent
Quelques phares brillent dans le noir
Ton regard est rempli d’histoires
Le coeur est un voyageur
Quelque part c’est toujours ailleurs
Chaque soir est un jour qui pleure
Le coeur est un voyageur
Mais à peine sur le quai de pierre
Comme un oiseau du vent, soudain malhabile,
Tu t’es mise à chanceler sur la terre immobile
Et je savais déjà qu’avec ce mal de terre
Il te faudrait bientôt reprendre la mer
C’était à l’heure des goélands
Et puis j’ai aperçu au bord
Ce grand oiseau bizarre
Encore
Prisonnier de ses amarres
Hey! Comment tu t’appelles?
Florence...
Mais, c’est un nom de ville, ça,
Avec des places, des églises, des Italiens
Qui mangent des glaces
Alors appelle moi Flo
Méfie-toi de la
Elle est dure comme la
Comme les hommes
Que l’on nomme
Aux frontières
Méfie-toi de la multitude
Il y a tant de solitude
Quelquefois quand je rêve au sud
Je reviens voir la mer
Quelques phares brillent dans le noir
Ton regard est rempli d’histoires
Le coeur est un voyageur
Quelque part c’est toujours ailleurs
Chaque soir est un jour qui pleure
Le coeur est un voyageur
Et toi comment tu t’appelles?
Pierre!
C’est un nom de caillou, ça,
A naufrager les bateaux
Et le vent nous apprend la vie
Les ouragans la mélancolie
Mais le coeur comme un cerf-volant
Va plus loin que le vent
Quelques phares brillent dans le noir
Ton regard est rempli d’histoires
Le coeur est un voyageur
Quelque part c’est toujours ailleurs
Chaque soir est un jour qui pleure
Le coeur est un voyageur
Mais à peine sur le quai de pierre
Comme un oiseau du vent, soudain malhabile,
Tu t’es mise à chanceler sur la terre immobile
Et je savais déjà qu’avec ce mal de terre
Il te faudrait bientôt reprendre la mer