Les paroles de la chanson
« Quel horizon? »
Rastamytho
« Quel Horizon? », Rastamytho (2010)
Refrain (x2):
Je cherche un air pur, aucun drame ni bavure, à scruter à l’horizon.
Mais ce vice perdure; baigné dans mes sentiments, je bois le temps et ses questions.
Couplet 1:
Après quelques temps passés sur la planète, je m’apprête à compromettre ce qui fait ma condition.
Partisan d’une vie simple et sans fausse question, je réalise que je me vois renaître (oh no-oh!).
Renaître, encré dans un monde fait de mauvais coups qu’il faut esquiver ou dominer pour triompher du doute,
Comme si le coeur d’un fruit était bouffé par des vers alors que d’apparence il n’a pas l’air si amer.
Refrain (x2):
Je cherche un air pur, aucun drame ni bavure, à scruter à l’horizon.
Mais ce vice perdure; baigné dans mes sentiments, je bois le temps et ses questions.
Couplet 2:
J’ai beau espérer que toutes ces pensées qui m’oppressent finiront par s’ordonner un jour dans un sens qui me berce.
Eh oui messieurs, je philosophe, et en plus, sans paresse; car si j’attends une réponse je garderais mes complexes (hééé!).
Nombreux sont les bouquins qui parlent du sens de la vie, certains sont entre tes mains et d’autres te sont interdits;
Adhère, ou perd-toi dans leurs mots, puissants comme une fronde, ou pose-toi et réfléchi à ta façon de voir le monde.
Refrain (x3):
Je cherche un air pur, aucun drame ni bavure, à scruter à l’horizon.
Mais ce vice perdure; baigné dans mes sentiments, je bois le temps et ses questions.
Couplet 3:
Si je marche droit c’est que je sais où je me rends, alors ma vie est une déviance comme le courant de ce torrent.
Quelques gouttes s’en évadent au hasard d’un virage, alors parti du paysage, je vais percuter le rivage.
Sans courage pour la suite, je garde néanmoins cet espoir qui me pousse quelques soirs à penser tout haut dans le noir;
Espoir de percer un jour le secret de l’existence, face à ce mur, sans armure, je perdure et j’avance.
Refrain (x2):
Je cherche un air pur, aucun drame ni bavure, à scruter à l’horizon.
Mais ce vice perdure; baigné dans mes sentiments, je bois le temps et ses questions.
Refrain (x2):
Je cherche un air pur, aucun drame ni bavure, à scruter à l’horizon.
Mais ce vice perdure; baigné dans mes sentiments, je bois le temps et ses questions.
Couplet 1:
Après quelques temps passés sur la planète, je m’apprête à compromettre ce qui fait ma condition.
Partisan d’une vie simple et sans fausse question, je réalise que je me vois renaître (oh no-oh!).
Renaître, encré dans un monde fait de mauvais coups qu’il faut esquiver ou dominer pour triompher du doute,
Comme si le coeur d’un fruit était bouffé par des vers alors que d’apparence il n’a pas l’air si amer.
Refrain (x2):
Je cherche un air pur, aucun drame ni bavure, à scruter à l’horizon.
Mais ce vice perdure; baigné dans mes sentiments, je bois le temps et ses questions.
Couplet 2:
J’ai beau espérer que toutes ces pensées qui m’oppressent finiront par s’ordonner un jour dans un sens qui me berce.
Eh oui messieurs, je philosophe, et en plus, sans paresse; car si j’attends une réponse je garderais mes complexes (hééé!).
Nombreux sont les bouquins qui parlent du sens de la vie, certains sont entre tes mains et d’autres te sont interdits;
Adhère, ou perd-toi dans leurs mots, puissants comme une fronde, ou pose-toi et réfléchi à ta façon de voir le monde.
Refrain (x3):
Je cherche un air pur, aucun drame ni bavure, à scruter à l’horizon.
Mais ce vice perdure; baigné dans mes sentiments, je bois le temps et ses questions.
Couplet 3:
Si je marche droit c’est que je sais où je me rends, alors ma vie est une déviance comme le courant de ce torrent.
Quelques gouttes s’en évadent au hasard d’un virage, alors parti du paysage, je vais percuter le rivage.
Sans courage pour la suite, je garde néanmoins cet espoir qui me pousse quelques soirs à penser tout haut dans le noir;
Espoir de percer un jour le secret de l’existence, face à ce mur, sans armure, je perdure et j’avance.
Refrain (x2):
Je cherche un air pur, aucun drame ni bavure, à scruter à l’horizon.
Mais ce vice perdure; baigné dans mes sentiments, je bois le temps et ses questions.