Les paroles de la chanson
« Que tu es impatiente »
Serge Reggiani
La mort est passée ce soir-là
Pour prendre un gosse de quinze ans
Pour le serrer dans ses grands bras
Et l’étouffer avec sa robe de jacinthes
La mort a couché ce soir-là
Dans un lit d’une belle fille
Pour une étreinte d’une fois
Et n’a laissé que cendre froide et sans parfum
Que tu es impatiente, la mort
On fait le chemin au devant de toi
Il suffisait d’attendre
Que tu es impatiente, la mort
La partie perdue, tu le sais déjà
Tout recommencera
Le soleil sur l’eau
Tu n’y peux rien
L’ombre d’une fleur
Tu n’y peux rien
La joie dans la rue
Les fraises des bois
Un sourire en mai
Tu n’y peux rien
Un valse valse
Tu n’y peux rien
Un bateau qui passe
Tu n’y peux rien
Un oiseau qui chante
L’herbe du fossé
Et la pluie si lasse
Tu n’y peux rien
La mort est revenue ce soir
Avec sa robe d’iris noirs
La mort est revenue chez moi
On a frappé.. Ouvrez la porte... La voilà
Elle brûlait comme une lampe
Dans une nuit près de la mer
Elle brûlait comme un feu rouge
A l’arrière d’un camion sourd sur les chemins
Que tu es impatiente, la mort...
Pour prendre un gosse de quinze ans
Pour le serrer dans ses grands bras
Et l’étouffer avec sa robe de jacinthes
La mort a couché ce soir-là
Dans un lit d’une belle fille
Pour une étreinte d’une fois
Et n’a laissé que cendre froide et sans parfum
Que tu es impatiente, la mort
On fait le chemin au devant de toi
Il suffisait d’attendre
Que tu es impatiente, la mort
La partie perdue, tu le sais déjà
Tout recommencera
Le soleil sur l’eau
Tu n’y peux rien
L’ombre d’une fleur
Tu n’y peux rien
La joie dans la rue
Les fraises des bois
Un sourire en mai
Tu n’y peux rien
Un valse valse
Tu n’y peux rien
Un bateau qui passe
Tu n’y peux rien
Un oiseau qui chante
L’herbe du fossé
Et la pluie si lasse
Tu n’y peux rien
La mort est revenue ce soir
Avec sa robe d’iris noirs
La mort est revenue chez moi
On a frappé.. Ouvrez la porte... La voilà
Elle brûlait comme une lampe
Dans une nuit près de la mer
Elle brûlait comme un feu rouge
A l’arrière d’un camion sourd sur les chemins
Que tu es impatiente, la mort...