Les paroles de la chanson
« Que si, que no »
Henri Salvador
Que si, que si, que no, que no
Depuis qu’il était au berceau
On l’appelait "Que si, que no"
Que no, que no, que si, que si
On ne pouvait jamais rien savoir avec lui
Que si, que si, que no, que no
Il ne savait jamais, dit-on,
Si c’était oui, si c’était non
Que no, que no, que si, que si
Il était le plus hésitant des indécis
En plein milieu des rues, soudain, il s’arrêtait
Se demandant de quel côté il devait traverser
Au restaurant, quand on lui donnait le menu
Il ignorait s’il fallait commencer par le début
Que si, que si, que no, que no
Toujours à l’heure à son boulot
Oui, mais dans un autre bureau!
Que si, que si, que no, que no
C’était vraiment un rigolo Que si, que no
{Parlé:}
Vous savez qu’une fois, on lui a demandé :
Alors, comment t’appelles-tu, Henri Salvador, ou bien Henri Leca?
Eh bien, il a répondu : euh, que si, euh, que no, euh, que, que...
Ha ha! Pas d’ chance, hein? Ha ha!
{Chanté:}
Que si, que si, que no, que no
En amour, il aurait pu faire un véritable Roméo
Que no, que no, que si, que si
Mais il y avait trop de Juliette autour de lui
Que si, que si, que no, que no
À lui, tant de fois, s’étaient présentés les partis les plus beaux
Que no, que no, que si, que si
Qu’il aurait pu se marier, mais avec qui?
Quand, à l’église, le prêtre lui demandait :
Voulez-vous, oui ou non, en justes noces, convoler?
Un grand murmure, dans la foule s’élevait
Quand immanquablement Que si, que no lui répondait :
Que si, que si, que no, que no
Je n’en sais rien padre mio
Croyez-vous pas que c’est trop tôt?
Que si, que si, que no, que no
C’était vraiment un rigolo Que si, que no
Quand il mourut, n’ayant pas su
À qui léguer tous ses écus
Il s’était fait seul héritier
C’était vraiment un rigolo Que si, que no
No?
Depuis qu’il était au berceau
On l’appelait "Que si, que no"
Que no, que no, que si, que si
On ne pouvait jamais rien savoir avec lui
Que si, que si, que no, que no
Il ne savait jamais, dit-on,
Si c’était oui, si c’était non
Que no, que no, que si, que si
Il était le plus hésitant des indécis
En plein milieu des rues, soudain, il s’arrêtait
Se demandant de quel côté il devait traverser
Au restaurant, quand on lui donnait le menu
Il ignorait s’il fallait commencer par le début
Que si, que si, que no, que no
Toujours à l’heure à son boulot
Oui, mais dans un autre bureau!
Que si, que si, que no, que no
C’était vraiment un rigolo Que si, que no
{Parlé:}
Vous savez qu’une fois, on lui a demandé :
Alors, comment t’appelles-tu, Henri Salvador, ou bien Henri Leca?
Eh bien, il a répondu : euh, que si, euh, que no, euh, que, que...
Ha ha! Pas d’ chance, hein? Ha ha!
{Chanté:}
Que si, que si, que no, que no
En amour, il aurait pu faire un véritable Roméo
Que no, que no, que si, que si
Mais il y avait trop de Juliette autour de lui
Que si, que si, que no, que no
À lui, tant de fois, s’étaient présentés les partis les plus beaux
Que no, que no, que si, que si
Qu’il aurait pu se marier, mais avec qui?
Quand, à l’église, le prêtre lui demandait :
Voulez-vous, oui ou non, en justes noces, convoler?
Un grand murmure, dans la foule s’élevait
Quand immanquablement Que si, que no lui répondait :
Que si, que si, que no, que no
Je n’en sais rien padre mio
Croyez-vous pas que c’est trop tôt?
Que si, que si, que no, que no
C’était vraiment un rigolo Que si, que no
Quand il mourut, n’ayant pas su
À qui léguer tous ses écus
Il s’était fait seul héritier
C’était vraiment un rigolo Que si, que no
No?