Les paroles de la chanson
« Que »
Diane Dufresne
rien n’est impossible je veux bien y croire pour des années
je tourne la page au marchand de sable le plus redouté
mes nuits d’enfant sage ont tellement changé que sur l’oreiller
je regarde un ange endormi sur mon cœur
ses ailes graciles entourent ma taille pour protéger
mon corps en exil vient se faire un nid dans les draps froissés
comme tous les présages retrouvent le langage dont j’avais rêvé
qui es-tu pour lire dans mes pensées
tous les mots d’amour pourront toujours dire que
s’ils se ressemblent à chaque jour
tous les mots d’amour pourront toujours dire que
ils se réinventent à chaque jour
que je t’aime
évidemment
que je t’aime
démesurément
que tu m’aimes
parfaitement
nous nous aimons tant
tu es bien visible bel ange mortel que dans mes bras
ton si doux sourire tes gestes sensibles réveillent déjà
les mots les plus tendres jusqu’à les entendre la première fois
quand d’une phalange tu viens chasser mes peurs
au carré de sable presque improvisé depuis l’été
mon ange dépose son corps et son âme pour mieux dessiner
de couleurs toscanes les plus beaux serments dans le sablier
renaissent de leurs cendres dans un baiser
tous les mots d’amour pourront toujours dire
que
s’ils se ressemblent à chaque jour
tous les mots d’amour pourront toujours dire
que
ils se réinventent à chaque jour
que je t’aime
passionnément
que je t’aime
incroyablement
que tu m’aimes
fatalement
nous nous aimons tant
que je t’aime
divinement
que je t’aime
éternellement
que tu m’aimes
infiniment
nous nous aimons tant
je tourne la page au marchand de sable le plus redouté
mes nuits d’enfant sage ont tellement changé que sur l’oreiller
je regarde un ange endormi sur mon cœur
ses ailes graciles entourent ma taille pour protéger
mon corps en exil vient se faire un nid dans les draps froissés
comme tous les présages retrouvent le langage dont j’avais rêvé
qui es-tu pour lire dans mes pensées
tous les mots d’amour pourront toujours dire que
s’ils se ressemblent à chaque jour
tous les mots d’amour pourront toujours dire que
ils se réinventent à chaque jour
que je t’aime
évidemment
que je t’aime
démesurément
que tu m’aimes
parfaitement
nous nous aimons tant
tu es bien visible bel ange mortel que dans mes bras
ton si doux sourire tes gestes sensibles réveillent déjà
les mots les plus tendres jusqu’à les entendre la première fois
quand d’une phalange tu viens chasser mes peurs
au carré de sable presque improvisé depuis l’été
mon ange dépose son corps et son âme pour mieux dessiner
de couleurs toscanes les plus beaux serments dans le sablier
renaissent de leurs cendres dans un baiser
tous les mots d’amour pourront toujours dire
que
s’ils se ressemblent à chaque jour
tous les mots d’amour pourront toujours dire
que
ils se réinventent à chaque jour
que je t’aime
passionnément
que je t’aime
incroyablement
que tu m’aimes
fatalement
nous nous aimons tant
que je t’aime
divinement
que je t’aime
éternellement
que tu m’aimes
infiniment
nous nous aimons tant