Les paroles de la chanson
« Quand vient la nuit »
Nâdiya
Le facteur n’est pas passé, il ne passera jamais
Lundi, mardi, mercredi, jeudi...
Minuit sonne et les plus grandes peurs résonnent
Dans les esprits...et les gens déraisonnent...
Rien ne fonctionne... quand s’actionne
L’angoisse d’une tête qu’on sectionne...
Peurs primaires...des sorcières...d’un bestiaire...
S’accélère le rythme vasculaire
Face aux peurs tentaculaires
Petit, petit, va, mais quand le moment vient
Tu peux t’enfuir au loin, sachant que c’est la fin
Vas-y, vas-y, fuit les ombres de la nuit
Puisque c’est pour ta vie, nul n’entendra tes cris
Le facteur n’est pas passé, il ne passera jamais
Lundi, mardi, mercredi, jeudi, vendredi, samedi...
{Refrain:}
Dés la nuitje frissonne
Chaque parcelle de mon corps s’abandonne
Pendant que l’orloge résonne
Quand vient la nuit, quand vient la nuit
Dés la nuit je frissonne
A l’abri de l’orage qui sonne
Cri jusqu’à en etre aphone
Quand vient la nuit, quand vient la nuit
Avis concernant les somnambules...
Habitués aux ténèbres et crépuscules
Quand face à rien d’ordinaire ils ne reculent
Qu’ils s’interrogent au fond sur les monticules
Marquant cette colline, Hémoglobine en rivière qui s’y achemine
Ames sans peine... par centaines... vidées du sang dans leurs veines
Petit, petit, va, mais quand le moment vient
Tu peux t’enfuir au loin, sachant que c’est la fin
Vas-y, vas-y, fuit les ombres de la nuit
Puisque c’est pour ta vie, nul n’entendra tes cris
Le facteur n’est pas passé, il ne passera jamais
Lundi,mardi, mercredi, jeudi, vendredi, samedi...
{au Refrain, x2}
Le facteur n’est pas passé, il ne passera jamais
Lundi, mardi, marcredi, jeudi, vendredi, samedi, dimanche
Lundi, mardi, mercredi, jeudi...
Minuit sonne et les plus grandes peurs résonnent
Dans les esprits...et les gens déraisonnent...
Rien ne fonctionne... quand s’actionne
L’angoisse d’une tête qu’on sectionne...
Peurs primaires...des sorcières...d’un bestiaire...
S’accélère le rythme vasculaire
Face aux peurs tentaculaires
Petit, petit, va, mais quand le moment vient
Tu peux t’enfuir au loin, sachant que c’est la fin
Vas-y, vas-y, fuit les ombres de la nuit
Puisque c’est pour ta vie, nul n’entendra tes cris
Le facteur n’est pas passé, il ne passera jamais
Lundi, mardi, mercredi, jeudi, vendredi, samedi...
{Refrain:}
Dés la nuitje frissonne
Chaque parcelle de mon corps s’abandonne
Pendant que l’orloge résonne
Quand vient la nuit, quand vient la nuit
Dés la nuit je frissonne
A l’abri de l’orage qui sonne
Cri jusqu’à en etre aphone
Quand vient la nuit, quand vient la nuit
Avis concernant les somnambules...
Habitués aux ténèbres et crépuscules
Quand face à rien d’ordinaire ils ne reculent
Qu’ils s’interrogent au fond sur les monticules
Marquant cette colline, Hémoglobine en rivière qui s’y achemine
Ames sans peine... par centaines... vidées du sang dans leurs veines
Petit, petit, va, mais quand le moment vient
Tu peux t’enfuir au loin, sachant que c’est la fin
Vas-y, vas-y, fuit les ombres de la nuit
Puisque c’est pour ta vie, nul n’entendra tes cris
Le facteur n’est pas passé, il ne passera jamais
Lundi,mardi, mercredi, jeudi, vendredi, samedi...
{au Refrain, x2}
Le facteur n’est pas passé, il ne passera jamais
Lundi, mardi, marcredi, jeudi, vendredi, samedi, dimanche