Les paroles de la chanson
« Quand ton pied va frôlant la terre »
Gilles Servat
Quand ton pied va frôlant la terre en un doux élan
Tes cils baissés sur deux mystères, deux astres troublants
J’aime ton allure un peu fière, ton pas nonchalant
Comme on vit dans l’eau des rivières passer les chalands
Cet air élégant d’aller l’amble et puis d’être ailleurs
Au passant qui te voit il semble qu’il devient meilleur
Au long sillage que tu laisses dans l’air après toi
Le mal et la laideur se blessent et fuient loin de toi
Quand tu dévoiles caressante ton regard si beau
Qui le reçoit s’envole et chante changé en oiseau
Même moi tes yeux me changèrent, moi qui ne suis pas
Digne d’embrasser la poussière que foulent tes pas
Les tissus légers que tu portes sur ton corps mouvant
Sont des rideaux devant la porte d’un monde émouvant
Les rouges émaux et les pierres que l’or encercla
Et, dans la nuit bleue, des lumières n’ont pas cet éclat
Ton sourire a la ressemblance d’un ciel apaisé
Quand le vent faiblit et qu’il lance aux joues des baisers
Près de toi mon âme s’élève jusque dans l’azur
Voici mon cœur qui se relève et redevient pur
Près de toi mon âme s’élève jusque dans l’azur
Voici mon cœur qui se relève et redevient pur.
Tes cils baissés sur deux mystères, deux astres troublants
J’aime ton allure un peu fière, ton pas nonchalant
Comme on vit dans l’eau des rivières passer les chalands
Cet air élégant d’aller l’amble et puis d’être ailleurs
Au passant qui te voit il semble qu’il devient meilleur
Au long sillage que tu laisses dans l’air après toi
Le mal et la laideur se blessent et fuient loin de toi
Quand tu dévoiles caressante ton regard si beau
Qui le reçoit s’envole et chante changé en oiseau
Même moi tes yeux me changèrent, moi qui ne suis pas
Digne d’embrasser la poussière que foulent tes pas
Les tissus légers que tu portes sur ton corps mouvant
Sont des rideaux devant la porte d’un monde émouvant
Les rouges émaux et les pierres que l’or encercla
Et, dans la nuit bleue, des lumières n’ont pas cet éclat
Ton sourire a la ressemblance d’un ciel apaisé
Quand le vent faiblit et qu’il lance aux joues des baisers
Près de toi mon âme s’élève jusque dans l’azur
Voici mon cœur qui se relève et redevient pur
Près de toi mon âme s’élève jusque dans l’azur
Voici mon cœur qui se relève et redevient pur.