Les paroles de la chanson
« Quand on aime il faut partir »
Dominique Comont
Tu peux prendre la route, faire ta valise, range tes affaires
Prends le minimum, prends le minimum
Débarasse toi, débarasse toi de tout ce qui t’encombre
Tout ce bazard accumulé depuis des années
Que tu crois posséder mais qui bien souvent te possède
Ces chaussures feront bien l’affaire
Elles ne sont pas tout à fait mortes
Tu te tiens sur le pas de la porte
Il ne fait pas bien chaud
Tu hésites encore, tu hésites encore
Ca fait pourtant si longtemps qu’elle t’appelle
Les parents dorment dans la chambre d’à côté
Tu entends ta petite sœur qui par le en dormant
Tu hésites encore, tu hésites encore
Le jour n’est pas encore levé
Dans la ville tout est calme, juste quelques voitures
Maintenant, Maintenant
Ton cœur se serre, ton cœur se serre
La maison derrière toit déjà s’éloigne
Ton cœur se serre, ton souffle s’accélère
Ce matin rien n’est pareil, rien n’est pareil ce matin
Rien ne sera plus jamais pareil, rien ne sera plus jamais pareil
Le vent dans tes cheveux, l’eau tout au bord de tes yeux
Quand On Aime Il Faut Partir, Quand On Aime Il Faut Partir!
Tu passes devant le pensionnat le gardien devant sa télé dort
Il est cinq heure moins dix
Il te noteront absente, absente cours après cours
Absente jour après jour et toutes celle qui savent garderont le secret
Garderont le secret
Quand On Aime Il Faut Partir, Quand On Aime Il Faut Partir!
Qu’est-ce que c’est que cette bretelle je ne l’avais jamais remarquée
Juste sortir de la ville cette vieille putain de ville
Qui ne m’a jamais quittée
Un café de la lumière quelques routiers boivent un verre au bar
Vous allez vers le sud? quelqu’un va vers le Sud?
Istanbul? Super!?
Quand On Aime Il Faut Partir, Quand On Aime Il Faut Partir!
Le jour se lève
Quelle merveille ces camions
C’est comme dans un film
Le monde m’appartient comme je lui appartient
Le monde m’appartient comme je lui appartient.
Prends le minimum, prends le minimum
Débarasse toi, débarasse toi de tout ce qui t’encombre
Tout ce bazard accumulé depuis des années
Que tu crois posséder mais qui bien souvent te possède
Ces chaussures feront bien l’affaire
Elles ne sont pas tout à fait mortes
Tu te tiens sur le pas de la porte
Il ne fait pas bien chaud
Tu hésites encore, tu hésites encore
Ca fait pourtant si longtemps qu’elle t’appelle
Les parents dorment dans la chambre d’à côté
Tu entends ta petite sœur qui par le en dormant
Tu hésites encore, tu hésites encore
Le jour n’est pas encore levé
Dans la ville tout est calme, juste quelques voitures
Maintenant, Maintenant
Ton cœur se serre, ton cœur se serre
La maison derrière toit déjà s’éloigne
Ton cœur se serre, ton souffle s’accélère
Ce matin rien n’est pareil, rien n’est pareil ce matin
Rien ne sera plus jamais pareil, rien ne sera plus jamais pareil
Le vent dans tes cheveux, l’eau tout au bord de tes yeux
Quand On Aime Il Faut Partir, Quand On Aime Il Faut Partir!
Tu passes devant le pensionnat le gardien devant sa télé dort
Il est cinq heure moins dix
Il te noteront absente, absente cours après cours
Absente jour après jour et toutes celle qui savent garderont le secret
Garderont le secret
Quand On Aime Il Faut Partir, Quand On Aime Il Faut Partir!
Qu’est-ce que c’est que cette bretelle je ne l’avais jamais remarquée
Juste sortir de la ville cette vieille putain de ville
Qui ne m’a jamais quittée
Un café de la lumière quelques routiers boivent un verre au bar
Vous allez vers le sud? quelqu’un va vers le Sud?
Istanbul? Super!?
Quand On Aime Il Faut Partir, Quand On Aime Il Faut Partir!
Le jour se lève
Quelle merveille ces camions
C’est comme dans un film
Le monde m’appartient comme je lui appartient
Le monde m’appartient comme je lui appartient.