Les paroles de la chanson
« Quand les papillons »
Yvonne Printemps
On s’est rencontrés, le coeur plein de fièvre,
Les yeux égarés de rêves charmants.
Le même baiser nous venait aux lèvres
Dans l’enchantement des premiers serments;
Ah! les billets doux, peuplés de chimères,
Les fleurs qu’on effeuille en disant un nom...
Tous ces songes bleus sont éphémères;
On se quitte un jour, ne jurez pas "non".
{Refrain :}
Quand les papillons fermeront leurs ailes,
Les coeurs d’amants seront fidèles.
Quand les fleurs naîtront pour durer toujours,
Les chansons d’amour seront éternelles.
Que sont devenues les belles promesses?
Et toi, tes serments, où sont-ils partis?
Va donc embrasser tes folles maîtresses!
Toi, va retrouver tes amants maudits!
On se fait au coeur d’atroces blessures,
Oubliant soudain qu’on s’est adorés.
Puis on se sépare avec des injures :
Vous pensiez en rire et vous en pleurez!
{au Refrain}
Petit à petit la douleur s’efface;
La haine et l’amour n’ont plus qu’un reflet.
Sur votre chemin un autre qui passe
Porte comme vous son triste regret;
Au bruit des baisers, à deux on oublie;
Pour se consoler on se prend la main,
Et, toujours enfants à travers la vie,
On pleure aujourd’hui pour chanter demain!
{au Refrain}
Les yeux égarés de rêves charmants.
Le même baiser nous venait aux lèvres
Dans l’enchantement des premiers serments;
Ah! les billets doux, peuplés de chimères,
Les fleurs qu’on effeuille en disant un nom...
Tous ces songes bleus sont éphémères;
On se quitte un jour, ne jurez pas "non".
{Refrain :}
Quand les papillons fermeront leurs ailes,
Les coeurs d’amants seront fidèles.
Quand les fleurs naîtront pour durer toujours,
Les chansons d’amour seront éternelles.
Que sont devenues les belles promesses?
Et toi, tes serments, où sont-ils partis?
Va donc embrasser tes folles maîtresses!
Toi, va retrouver tes amants maudits!
On se fait au coeur d’atroces blessures,
Oubliant soudain qu’on s’est adorés.
Puis on se sépare avec des injures :
Vous pensiez en rire et vous en pleurez!
{au Refrain}
Petit à petit la douleur s’efface;
La haine et l’amour n’ont plus qu’un reflet.
Sur votre chemin un autre qui passe
Porte comme vous son triste regret;
Au bruit des baisers, à deux on oublie;
Pour se consoler on se prend la main,
Et, toujours enfants à travers la vie,
On pleure aujourd’hui pour chanter demain!
{au Refrain}