Les paroles de la chanson
« Quand les beaux jours seront là »
Charles Trenet
La ville est triste quand il neige,
La ville est triste quand il pleut,
La ville est comme un grand manège
Dont chaque tour nous vieillit un peu.
Quand les beaux jours seront là,
Pour la saison prochaine,
Ohé ohé pour trois mois,
Vous viendrez vivre avec moi,
Au grand air, loin des frimas.
Vers des rives lointaines,
Nous partirons vous et moi,
Quand les beaux jours seront là.
N’avoir qu’une maison blanche
Pour abriter notre amour,
Vivre un éternel dimanche
Sur un petit bateau qui penche.
N’est-c’ pas le meilleur séjour,
N’est-c’ pas notre revanche,
Ohé ohé, ces trois mois,
Quand les beaux jours seront là?
Vivre tout nu sur une plage
Ou rien qu’avec un p’tit cal’çon,
Faire des tas de parties d’nage
Avec des tas d’joyeux garçons.
On rapporte avec ses bagages
Des souvenirs dans un album
Et des milliers de coquillages
Et de petit’s fleurs qui embaum’nt.
Quand les beaux jours seront finis,
On retourne à la ville.
Ohé ohé, c’est l’ennui,
Quand les beaux jours sont finis.
On regrett’ les doux pays
Où l’on vivait tranquille,
Le bon soleil du midi,
Quand les beaux jours sont finis,
La petite maison blanche
Où s’abritait notre amour
Et les éternels dimanches
Sur le petit bateau qui penche
Mais quand l’printemps reviendra
Pour prendre sa revanche,
Nous partirons vous et moi,
Quand les beaux jours seront là.
La ville est triste quand il pleut,
La ville est comme un grand manège
Dont chaque tour nous vieillit un peu.
Quand les beaux jours seront là,
Pour la saison prochaine,
Ohé ohé pour trois mois,
Vous viendrez vivre avec moi,
Au grand air, loin des frimas.
Vers des rives lointaines,
Nous partirons vous et moi,
Quand les beaux jours seront là.
N’avoir qu’une maison blanche
Pour abriter notre amour,
Vivre un éternel dimanche
Sur un petit bateau qui penche.
N’est-c’ pas le meilleur séjour,
N’est-c’ pas notre revanche,
Ohé ohé, ces trois mois,
Quand les beaux jours seront là?
Vivre tout nu sur une plage
Ou rien qu’avec un p’tit cal’çon,
Faire des tas de parties d’nage
Avec des tas d’joyeux garçons.
On rapporte avec ses bagages
Des souvenirs dans un album
Et des milliers de coquillages
Et de petit’s fleurs qui embaum’nt.
Quand les beaux jours seront finis,
On retourne à la ville.
Ohé ohé, c’est l’ennui,
Quand les beaux jours sont finis.
On regrett’ les doux pays
Où l’on vivait tranquille,
Le bon soleil du midi,
Quand les beaux jours sont finis,
La petite maison blanche
Où s’abritait notre amour
Et les éternels dimanches
Sur le petit bateau qui penche
Mais quand l’printemps reviendra
Pour prendre sa revanche,
Nous partirons vous et moi,
Quand les beaux jours seront là.