Les paroles de la chanson
« Quand j'irais vers l'or »
Tereza Kesovija
Y’aura des poissons d’argents plein les rivières,
Quand j’irai vers l’or,
Et des enfants blonds pieds nus dans les rizières,
Quand j’irai vers l’or,
Le même soleil brillera dans nos larmes,
Et la haine, enfin aura rangé les armes,
Ce sera sans remord, que j’irai vers l’or.
Votre coeur éteint rallumera nos âmes,
Quand j’irai vers l’or,
Et l’homme aimera toujours la même femme,
Quand j’irai vers l’or.
Des millions d’oiseaux sur des fils électriques,
Chanteront en coeur la nouvelle musique,
En coeur et encore,
Quand j’irai vers l’or.
Le citron amer, épousera l’orange,
Quand j’irai vers l’or.
Et la bête en nous sera vaincue par l’ange,
Quand j’irai vers l’or.
Au Louvre, il y aura à la place des toiles,
Des écrans géants de soleils et d’étoiles,
Et des dinosaures,
Quand j’irai vers l’or.
Elimé l’amour usé jusqu’à la trame,
La mort n’aura plus l’apparence d’un drame
Et les dieux enfin rassemblés par la science
Diront l’homme meurt pour que l’homme commence...
Il y aura le rêve érigé en système
Quand j’irai vers l’or,
Et tous les discours finiront par "je t’aime"
Quand j’irai vers l’or
Le ciel jaillira du ventre de la terre
Dans un cri d’enfant giclant vers la lumière
Je dirai d’accord, pour aller vers l’or..
L’homme ne sera plus jamais plus solitaire
Quand j’irai vers l’or
Et le "dies irae" aura lavé la terre
Quand j’irai vers l’or
Le ciel sera clair à voir voler les anges
Et le temporel aura rallié l’étrange
Silence sonore,
Quand j’irai vers l’or...
Quand j’irai vers l’or,
Et des enfants blonds pieds nus dans les rizières,
Quand j’irai vers l’or,
Le même soleil brillera dans nos larmes,
Et la haine, enfin aura rangé les armes,
Ce sera sans remord, que j’irai vers l’or.
Votre coeur éteint rallumera nos âmes,
Quand j’irai vers l’or,
Et l’homme aimera toujours la même femme,
Quand j’irai vers l’or.
Des millions d’oiseaux sur des fils électriques,
Chanteront en coeur la nouvelle musique,
En coeur et encore,
Quand j’irai vers l’or.
Le citron amer, épousera l’orange,
Quand j’irai vers l’or.
Et la bête en nous sera vaincue par l’ange,
Quand j’irai vers l’or.
Au Louvre, il y aura à la place des toiles,
Des écrans géants de soleils et d’étoiles,
Et des dinosaures,
Quand j’irai vers l’or.
Elimé l’amour usé jusqu’à la trame,
La mort n’aura plus l’apparence d’un drame
Et les dieux enfin rassemblés par la science
Diront l’homme meurt pour que l’homme commence...
Il y aura le rêve érigé en système
Quand j’irai vers l’or,
Et tous les discours finiront par "je t’aime"
Quand j’irai vers l’or
Le ciel jaillira du ventre de la terre
Dans un cri d’enfant giclant vers la lumière
Je dirai d’accord, pour aller vers l’or..
L’homme ne sera plus jamais plus solitaire
Quand j’irai vers l’or
Et le "dies irae" aura lavé la terre
Quand j’irai vers l’or
Le ciel sera clair à voir voler les anges
Et le temporel aura rallié l’étrange
Silence sonore,
Quand j’irai vers l’or...