Les paroles de la chanson
« Quai de seine »
Saez
On se désire, on se déchire
On s’fait du mal, on s’idéale
On se retient, on se retire
On se souvient, on se soupire
On s’imagine, on se dessine
On se devine, on se divine
On se ruisselle, des choses belles
On se promène au bord de Seine
On se dit tout, on dit tout bas
Pour que le monde n’entende pas
On se murmure, on se blessure
On s’écorchure, on s’aventure
On dit qu’on n’aimera plus jamais
Puis on retombe sur un cœur
Sur l’amour sur le bout d’un quai
On se promène au vent mauvais
Amour noyé, dans les métros
Pour un sanglot, un mot de trop
On fait des scènes, des opéras
En pas de danse, en pas de chat
On s’univers, on fait des terres
On se câline, on s’orpheline
On se mari, on se finit
On s’infinit
On se méprend, on se méprise
Elle est contente, elle est conquise
Coule la Seine, on se promène
Aux amours veines, et on s’invente
On prend des bateaux au matin
Qu’on sait qu’on ne prendra jamais
On s’y noie, on s’y croit
On s’aperçoit, on se combat
On s’enchaine, on s’enchante
On se déchaine, on se déchante
On s’enfuit, on se suit
On mots d’amours, puis on maudit
On se consomme, on se consume
On se délaisse, on se promesse
On se concède, on se possède
On se fête, on se défaite
On s’entête, on s’ennuie
On se défend, on se détruit
On s’empire, et sans le dire
On se navire, on se chavire
On s’échoue, on se cloue
On se naufrage, on se rivage
On s’emmêle, on se dit qu’on s’aime
Qu’est-ce que t’es belle aux bords de Seine!
Amour noyé dans les métros
Pour un sanglot, un mot de trop
On fait des scènes, des opéras
En pas de danse, en pas de chat
On s’univers, on fait des terres
On se câline, on s’orpheline
On se marie, on se finit
On s’infinit
Tu partiras, je reviendrai
Tu pleureras moi j’en rirai
Tu tomberas, sûr, dans les bras
Un jour, oui, d’un autre que moi
Tu lui diras c’qu’on s’est dit
Et puis qu’on s’était rien promis
Vous larguerez, oui des amours
Avant de vous larguer tout court!
Tu reviendras un jour de pluie
Pour trouver mouchoir à tes yeux
Car c’est toujours un jour de pluie
Que reviennent les amoureux
On se retrouvera au hasard
Du désespoir, d’un quai de gare
Nous parlerons de ce qui fait pleurer les hommes!!
Tu diras que tu ne m’aimes plus
Je te dirai bien entendu
Puis tu diras qu’tu m’aimes encore
Que tu t’étais trompée de port
Nous refermerons nos blessures
Nos horizons seront sans murs
Et comme deux oiseaux de passage
Nous retrouverons le rivage
On se refera Quai de Seine
On se redira oui qu’on s’aime
On sera comme au premier jour
Tu seras mon premier amour
Amour noyé, quai des métros
Nous les prendrons oui ses bateaux
Et tu verras les chrysanthèmes
Auront le parfum des je t’aime
Mon Amour quand tu reviendras
Je porterai à bout de bras
Le monde à tes doigts j’offrirai
Des chansons qui auront ton nom
Tes yeux seront plus jamais tristes
Et si j’en dois devenir Christ
C’est pour que toi, toi mon Amour
Toi tu sois Dieu!!
On s’fait du mal, on s’idéale
On se retient, on se retire
On se souvient, on se soupire
On s’imagine, on se dessine
On se devine, on se divine
On se ruisselle, des choses belles
On se promène au bord de Seine
On se dit tout, on dit tout bas
Pour que le monde n’entende pas
On se murmure, on se blessure
On s’écorchure, on s’aventure
On dit qu’on n’aimera plus jamais
Puis on retombe sur un cœur
Sur l’amour sur le bout d’un quai
On se promène au vent mauvais
Amour noyé, dans les métros
Pour un sanglot, un mot de trop
On fait des scènes, des opéras
En pas de danse, en pas de chat
On s’univers, on fait des terres
On se câline, on s’orpheline
On se mari, on se finit
On s’infinit
On se méprend, on se méprise
Elle est contente, elle est conquise
Coule la Seine, on se promène
Aux amours veines, et on s’invente
On prend des bateaux au matin
Qu’on sait qu’on ne prendra jamais
On s’y noie, on s’y croit
On s’aperçoit, on se combat
On s’enchaine, on s’enchante
On se déchaine, on se déchante
On s’enfuit, on se suit
On mots d’amours, puis on maudit
On se consomme, on se consume
On se délaisse, on se promesse
On se concède, on se possède
On se fête, on se défaite
On s’entête, on s’ennuie
On se défend, on se détruit
On s’empire, et sans le dire
On se navire, on se chavire
On s’échoue, on se cloue
On se naufrage, on se rivage
On s’emmêle, on se dit qu’on s’aime
Qu’est-ce que t’es belle aux bords de Seine!
Amour noyé dans les métros
Pour un sanglot, un mot de trop
On fait des scènes, des opéras
En pas de danse, en pas de chat
On s’univers, on fait des terres
On se câline, on s’orpheline
On se marie, on se finit
On s’infinit
Tu partiras, je reviendrai
Tu pleureras moi j’en rirai
Tu tomberas, sûr, dans les bras
Un jour, oui, d’un autre que moi
Tu lui diras c’qu’on s’est dit
Et puis qu’on s’était rien promis
Vous larguerez, oui des amours
Avant de vous larguer tout court!
Tu reviendras un jour de pluie
Pour trouver mouchoir à tes yeux
Car c’est toujours un jour de pluie
Que reviennent les amoureux
On se retrouvera au hasard
Du désespoir, d’un quai de gare
Nous parlerons de ce qui fait pleurer les hommes!!
Tu diras que tu ne m’aimes plus
Je te dirai bien entendu
Puis tu diras qu’tu m’aimes encore
Que tu t’étais trompée de port
Nous refermerons nos blessures
Nos horizons seront sans murs
Et comme deux oiseaux de passage
Nous retrouverons le rivage
On se refera Quai de Seine
On se redira oui qu’on s’aime
On sera comme au premier jour
Tu seras mon premier amour
Amour noyé, quai des métros
Nous les prendrons oui ses bateaux
Et tu verras les chrysanthèmes
Auront le parfum des je t’aime
Mon Amour quand tu reviendras
Je porterai à bout de bras
Le monde à tes doigts j’offrirai
Des chansons qui auront ton nom
Tes yeux seront plus jamais tristes
Et si j’en dois devenir Christ
C’est pour que toi, toi mon Amour
Toi tu sois Dieu!!