Les paroles de la chanson
« Qu'on le dise en argot »
Anne Vanderlove
Qu’on le dise en argot,
Qu’on le dise en poèmes,
Que l’on change les mots,
Le fond reste le même,
Ma jeunesse a foutu le camp de par chez nous,
Le coeur n’y était plus quand elle a mis les bouts
On n’met pas à la une
De tous les journaux
Qu’il n’y a plus d’clair de lune
Pour l’ami Pierrot
Mais, à grands coups d’ciseaux, ma jeunesse se taille
Une mémoire qui défaille et qui en perd ses mots
Qu’on le dise en poèmes,
Qu’on le dise en chansons,
Qu’on le dise en bohème
A la lueur des ponts,
Ma jeunesse a foutu tous ses rêves au clou
Quand elle a mis les bouts et l’on n’en parle plus
Et j’ai ouvert ma porte
A gens de tout venant,
A vents de toutes sortes
Qui ventent mon auvent,
Mais la jeunesse avait déjà fait ses bagages
Et elle a pris le large en me laissant à quai
Qu’on le dise en argot,
Qu’on le dise en poèmes,
Que l’on change les mots,
Le fond reste le même,
Ma jeunesse a foutu le camp de par chez nous,
Le coeur n’y était plus quand elle a mis les bouts.
Qu’on le dise en poèmes,
Que l’on change les mots,
Le fond reste le même,
Ma jeunesse a foutu le camp de par chez nous,
Le coeur n’y était plus quand elle a mis les bouts
On n’met pas à la une
De tous les journaux
Qu’il n’y a plus d’clair de lune
Pour l’ami Pierrot
Mais, à grands coups d’ciseaux, ma jeunesse se taille
Une mémoire qui défaille et qui en perd ses mots
Qu’on le dise en poèmes,
Qu’on le dise en chansons,
Qu’on le dise en bohème
A la lueur des ponts,
Ma jeunesse a foutu tous ses rêves au clou
Quand elle a mis les bouts et l’on n’en parle plus
Et j’ai ouvert ma porte
A gens de tout venant,
A vents de toutes sortes
Qui ventent mon auvent,
Mais la jeunesse avait déjà fait ses bagages
Et elle a pris le large en me laissant à quai
Qu’on le dise en argot,
Qu’on le dise en poèmes,
Que l’on change les mots,
Le fond reste le même,
Ma jeunesse a foutu le camp de par chez nous,
Le coeur n’y était plus quand elle a mis les bouts.