Les paroles de la chanson
« Putain qu'elle était bien »
Pierre Tisserand
Il y a des filles que l’on oublie
Et puis les femmes qu’on n’oublie pas
Il y a les filles qui s’en vont
Et puis les femmes qui restent
Tout au moins là
Dans la tête
Et moi
J’ai connu une putain, putain qu’elle était bien!
Elle aurait pu tout autant porter la cornette
Non, elle ne portait rien, et ça, moi, j’aime bien
Tout blanche, toute rose, hmm qu’elle était chouette!
A l’armée, c’est souvent que le moral est atteint
Et qu’on a dans la gorge cette étrange boulette
Moi, j’allais oublier dans son air de violette
Ça changeait des odeurs amusantes des copains
J’ai connu une putain, putain qu’elle était bien!
Elle avait dans les yeux toute une ribambelle
De regards polissons, mais ça, moi, j’aimais bien
Quand elle me regardait, putain qu’elle était belle!
On manquait avant tout de gestes féminins
C’est aussi pour cela que je courais chez elle
Pour la voir chiffonner un nuage de dentelle
Ça changeait des mouchoirs à carreaux des copains
J’ai connu une putain, putain qu’elle était bien!
Elle avait des allures parfois de grande dame
Ou de môme paumée, mais, moi, ça, j’aimais bien
Quand elle faisait l’enfant, mon Dieu qu’elle était femme!
En ne me caressant bien souvent que la main
Elle devait savoir que c’était dans mon âme
Qu’il fallait essayer de ranimer la flamme
Ça change des exploits racontés aux copains
J’ai connu une putain, putain qu’elle était bien!
Un jour, elle est partie sans un mot, une lettre
Sans me dire au revoir, mais, moi, ça, j’aimais bien
Elle jetait son passé comme ça, par la fenêtre
Et je tairai son nom, je me garderai bien
Même par nostalgie d’ risquer d’ la compromettre
C’est sans doute ta sœur ou ta femme peut-être
Et dans ce dernier cas, je t’ le dis, mon copain,
Je t’envie bien!
Et puis les femmes qu’on n’oublie pas
Il y a les filles qui s’en vont
Et puis les femmes qui restent
Tout au moins là
Dans la tête
Et moi
J’ai connu une putain, putain qu’elle était bien!
Elle aurait pu tout autant porter la cornette
Non, elle ne portait rien, et ça, moi, j’aime bien
Tout blanche, toute rose, hmm qu’elle était chouette!
A l’armée, c’est souvent que le moral est atteint
Et qu’on a dans la gorge cette étrange boulette
Moi, j’allais oublier dans son air de violette
Ça changeait des odeurs amusantes des copains
J’ai connu une putain, putain qu’elle était bien!
Elle avait dans les yeux toute une ribambelle
De regards polissons, mais ça, moi, j’aimais bien
Quand elle me regardait, putain qu’elle était belle!
On manquait avant tout de gestes féminins
C’est aussi pour cela que je courais chez elle
Pour la voir chiffonner un nuage de dentelle
Ça changeait des mouchoirs à carreaux des copains
J’ai connu une putain, putain qu’elle était bien!
Elle avait des allures parfois de grande dame
Ou de môme paumée, mais, moi, ça, j’aimais bien
Quand elle faisait l’enfant, mon Dieu qu’elle était femme!
En ne me caressant bien souvent que la main
Elle devait savoir que c’était dans mon âme
Qu’il fallait essayer de ranimer la flamme
Ça change des exploits racontés aux copains
J’ai connu une putain, putain qu’elle était bien!
Un jour, elle est partie sans un mot, une lettre
Sans me dire au revoir, mais, moi, ça, j’aimais bien
Elle jetait son passé comme ça, par la fenêtre
Et je tairai son nom, je me garderai bien
Même par nostalgie d’ risquer d’ la compromettre
C’est sans doute ta sœur ou ta femme peut-être
Et dans ce dernier cas, je t’ le dis, mon copain,
Je t’envie bien!