Les paroles de la chanson
« Puisqu'il pleut sur ma vie »
Olympe
Je t’écris cette lettre comme une dernière fois
Je pose ces " peut-être ", juste à tes pieds, comme çà
Je voulais te connaître, nous laisser cette chance de marcher quelques mètres, oublier ton silence
J’aurais voulus te dire, chaque jours plus qu’hier, et de ma plume à tes cris, que je manque d’un père
Puisqu’il pleut sur ma vie, que tu gardes ces non dits, que le temps n’a pas le temps d’attendre que l’ont s’entendent
Je cherche des moments meilleurs, sur d’autres mondes et je traîne sur le fil, je vais de villes en villes
Je t’écris cette lettres, comme un dernier combat et je pose ces " peut-être "
Une main tendue comme çà
D’une épaule je rêve, comme une simple évidence
Mais l’amour est amer, sous le feu de l’absence
J’aurais voulus t’offrir, chaque jours plus qu’hier
Je n’suis pour ainsi dire, qu’un fils sans repères
Puisqu’il pleut sur ma vie, que tu gardes ces non dits, que le temps n’a pas le temps d’attendre que l’ont s’entendent
Je cherche des moments meilleurs, sur d’autres mondes et je traîne sur le fil, je vais de villes en villes
Puisqu’il pleut sur ma vie, et sous nos pas aussi!
Si tu crois tant de choses dont on jure sur mon sort!
Je garde les ecchymose d’un amour qui me mort, et je traîne sur le fil comme un enfant fragile!
Comme un enfant fragile
Ouuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuh
Puisqu’il pleut sur ma vie...
Je pose ces " peut-être ", juste à tes pieds, comme çà
Je voulais te connaître, nous laisser cette chance de marcher quelques mètres, oublier ton silence
J’aurais voulus te dire, chaque jours plus qu’hier, et de ma plume à tes cris, que je manque d’un père
Puisqu’il pleut sur ma vie, que tu gardes ces non dits, que le temps n’a pas le temps d’attendre que l’ont s’entendent
Je cherche des moments meilleurs, sur d’autres mondes et je traîne sur le fil, je vais de villes en villes
Je t’écris cette lettres, comme un dernier combat et je pose ces " peut-être "
Une main tendue comme çà
D’une épaule je rêve, comme une simple évidence
Mais l’amour est amer, sous le feu de l’absence
J’aurais voulus t’offrir, chaque jours plus qu’hier
Je n’suis pour ainsi dire, qu’un fils sans repères
Puisqu’il pleut sur ma vie, que tu gardes ces non dits, que le temps n’a pas le temps d’attendre que l’ont s’entendent
Je cherche des moments meilleurs, sur d’autres mondes et je traîne sur le fil, je vais de villes en villes
Puisqu’il pleut sur ma vie, et sous nos pas aussi!
Si tu crois tant de choses dont on jure sur mon sort!
Je garde les ecchymose d’un amour qui me mort, et je traîne sur le fil comme un enfant fragile!
Comme un enfant fragile
Ouuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuh
Puisqu’il pleut sur ma vie...