Les paroles de la chanson
« Profiter du temps »
François Béranger
Je voudrais, quoi qu’il arrive
Profiter du temps
Du temps qui me reste à vivre
Tant de temps, si peu de temps
Le temps qui tisse sa trame
Le temps qui file sa chaîne
Le temps qui est si pesant
Le temps qui n’existe pas
J’ passe mon temps à ne rien faire
J’en ai plus pour travailler
Je surveille le bananier
Les bananes poussent à l’envers
J’ me mets donc la tête en bas
Pour voir la chose à l’endroit
C’est pas bon pour la tension
Mais ça fait jaser les cons
Prendre son pied, prendre son pied
Prendre son pied dans la moquette
Partir en vol plané
Vol plané dans mes synapses
Dans mes univers virtuels
Dans mes giga-neurones
Aussi vite que la lumière
Dans l’infini des mémoires
Un matin l’angoisse te poisse
Tu n’es plus immortel
Tu jettes un œil sur ton compte
Il est pas loin du zéro
Redevenir le héros
Du quotidien qui file
Redécouvrir les gens
Les objets et les jours
Temps élastique, ressort à boudin
Temps chewing-gum, temps caoutchouc
Temps sans début ni fin
Interminable quand on s’ennuie
Impalpable quand on jouit
De la moindre seconde
Comme le ravi du village
Qui rit de tout et de rien
Je voudrais quoiqu’il arrive
Profiter du temps
Du temps qui me reste à vivre
Tant de temps, si peu de temps
Le temps qui tisse sa trame
Le temps qui file sa chaîne
{x3:}
Le temps qui est si pesant
Le temps qui n’existe pas
Profiter du temps
Du temps qui me reste à vivre
Tant de temps, si peu de temps
Le temps qui tisse sa trame
Le temps qui file sa chaîne
Le temps qui est si pesant
Le temps qui n’existe pas
J’ passe mon temps à ne rien faire
J’en ai plus pour travailler
Je surveille le bananier
Les bananes poussent à l’envers
J’ me mets donc la tête en bas
Pour voir la chose à l’endroit
C’est pas bon pour la tension
Mais ça fait jaser les cons
Prendre son pied, prendre son pied
Prendre son pied dans la moquette
Partir en vol plané
Vol plané dans mes synapses
Dans mes univers virtuels
Dans mes giga-neurones
Aussi vite que la lumière
Dans l’infini des mémoires
Un matin l’angoisse te poisse
Tu n’es plus immortel
Tu jettes un œil sur ton compte
Il est pas loin du zéro
Redevenir le héros
Du quotidien qui file
Redécouvrir les gens
Les objets et les jours
Temps élastique, ressort à boudin
Temps chewing-gum, temps caoutchouc
Temps sans début ni fin
Interminable quand on s’ennuie
Impalpable quand on jouit
De la moindre seconde
Comme le ravi du village
Qui rit de tout et de rien
Je voudrais quoiqu’il arrive
Profiter du temps
Du temps qui me reste à vivre
Tant de temps, si peu de temps
Le temps qui tisse sa trame
Le temps qui file sa chaîne
{x3:}
Le temps qui est si pesant
Le temps qui n’existe pas