Les paroles de la chanson
« Prisons de femmes »
Véronique Pestel
Trop de peines et trop de mots qui n’ parlent plus
Trop de peine et trop de temps perdu
Trop de murs et trop de gêne
Trop de portes qu’on referme
Trop de fatigue et de coups tordus
Trop de beauté qui s’abîme
Trop de pensées qui la rident
Jamais assez de bonté
Jamais fini de compter
Le temps qu’il nous reste à faire
Et ce qu’en pensent nos frères
Et la culpabilité
À leur santé
Trop de lèvres qui se pincent
À quoi sert de rester mince
Quand le vide est tout autour
Du puits d’amour?
Trop de rêves qui s’émoussent
À quoi sert d’être plus douce?
La patience est un état
Qui sert à quoi?
Trop de peines et trop de mots qu’il faut boucler
Trop de peine et trop de temps bâclé
Trop de murs et trop de gêne
Trop de portes qu’on referme
Trop de fatigue et de tours de clés
Trop de poitrines qui fondent
Sous la morgue qui les sonde
Jamais assez de fierté
Jamais fini de douter
Pour trois mots qui vous redressent
Qui vous recambrent les fesses
Tout est à recommencer
Recommencer
Recommencer à comprendre
Qu’il va falloir se déprendre
Laisser retomber nos bras
Autour de soi
Et puis faire semblant d’admettre
Qu’on n’a plus ni dieu ni maître
Quand le vide est tout autour
Du puits d’amour
Trop de peines et trop de mots qui n’ parlent plus
Trop de peine et trop de temps perdu
Trop de murs et trop de gêne
Trop de portes qu’on referme
Trop de fatigue et de coups tordus
Trop de peine et trop de temps perdu
Trop de murs et trop de gêne
Trop de portes qu’on referme
Trop de fatigue et de coups tordus
Trop de beauté qui s’abîme
Trop de pensées qui la rident
Jamais assez de bonté
Jamais fini de compter
Le temps qu’il nous reste à faire
Et ce qu’en pensent nos frères
Et la culpabilité
À leur santé
Trop de lèvres qui se pincent
À quoi sert de rester mince
Quand le vide est tout autour
Du puits d’amour?
Trop de rêves qui s’émoussent
À quoi sert d’être plus douce?
La patience est un état
Qui sert à quoi?
Trop de peines et trop de mots qu’il faut boucler
Trop de peine et trop de temps bâclé
Trop de murs et trop de gêne
Trop de portes qu’on referme
Trop de fatigue et de tours de clés
Trop de poitrines qui fondent
Sous la morgue qui les sonde
Jamais assez de fierté
Jamais fini de douter
Pour trois mots qui vous redressent
Qui vous recambrent les fesses
Tout est à recommencer
Recommencer
Recommencer à comprendre
Qu’il va falloir se déprendre
Laisser retomber nos bras
Autour de soi
Et puis faire semblant d’admettre
Qu’on n’a plus ni dieu ni maître
Quand le vide est tout autour
Du puits d’amour
Trop de peines et trop de mots qui n’ parlent plus
Trop de peine et trop de temps perdu
Trop de murs et trop de gêne
Trop de portes qu’on referme
Trop de fatigue et de coups tordus