Les paroles de la chanson
« Printemps »
Véronique Pestel
Le grand coq était blanc, avec un chapeau rouge
Et l’enfant tout en rouge, avec un bonnet blanc
Le vent léger bougeait sur l’herbe des pelouses
Et les cris des pinsons traversaient le printemps
Le coq battait de l’aile et sonnait son chant rouge
L’enfant se mit à rire et son rire était blanc
Son rire frôlait l’air comme les plumes douces
Dont s’évente le vol des pigeons roucoulants
La pluie avait si fort imprégné d’eau les mousses
Que le ciel se mirait dans leurs bouquets noyés
Et perlait en fraîcheur sur les écorces rousses
Quand le soleil parut dans le matin lavé
La terre fut dorée au choc de la lumière
Tout le jardin vibrait comme un coq dans son chant
Des nuages, au loin, tels des glaciers brillèrent
Et le ciel fut pareil au rire de l’enfant
Et l’enfant tout en rouge, avec un bonnet blanc
Le vent léger bougeait sur l’herbe des pelouses
Et les cris des pinsons traversaient le printemps
Le coq battait de l’aile et sonnait son chant rouge
L’enfant se mit à rire et son rire était blanc
Son rire frôlait l’air comme les plumes douces
Dont s’évente le vol des pigeons roucoulants
La pluie avait si fort imprégné d’eau les mousses
Que le ciel se mirait dans leurs bouquets noyés
Et perlait en fraîcheur sur les écorces rousses
Quand le soleil parut dans le matin lavé
La terre fut dorée au choc de la lumière
Tout le jardin vibrait comme un coq dans son chant
Des nuages, au loin, tels des glaciers brillèrent
Et le ciel fut pareil au rire de l’enfant