Les paroles de la chanson
« Poussière, poussière »
Louis Chedid
Qu’on soit star,
Hollywood Boulevard
Ou anonyme,
Jamais pris dans les castings,
Pauvre comme Job,
Pain noir, bidonvilles
Ou riche comme Crésus,
Riviera, piscine,
Qu’on soit né dans les choux ou dans les roses,
Qu’on devienne quelqu’un ou pas grand-chose,
Quatre planches et des clous, bois de sapin
Ou tout en acajou doublé de satin,
Poussière, poussière.
On s’retrouve tout seul à la fin,
Tout l’monde pareil,
Devant le soleil qui s’éteint,
A la même enseigne, tous les mêmes enfin.
Qu’on soit black de peau, qu’on soit blanc, qu’on soit jaune
Qu’on parle l’eskimo ou l’indien d’Amazone,
Qu’on mange avec ses doigts ou avec une fourchette,
Qu’on croie en Dieu, Bouddha, Mahomet,
Quels que soient le langage, les coutumes,
On est tous de passage, potentiellement posthumes,
Poussière, poussière.
On s’retrouve tout seul à la fin,
Tout l’monde pareil,
Devant le soleil qui s’éteint,
A la même enseigne, tous les mêmes enfin.
Dans ce monde sans âme
Où l’homme est un loup pour l’homme,
La seule égalité, la seule morale en somme,
Poussière, poussière.
On s’retrouve tout seul à la fin,
Tout l’monde pareil,
Devant le soleil qui s’éteint,
A la même enseigne, tous les mêmes enfin.
Hollywood Boulevard
Ou anonyme,
Jamais pris dans les castings,
Pauvre comme Job,
Pain noir, bidonvilles
Ou riche comme Crésus,
Riviera, piscine,
Qu’on soit né dans les choux ou dans les roses,
Qu’on devienne quelqu’un ou pas grand-chose,
Quatre planches et des clous, bois de sapin
Ou tout en acajou doublé de satin,
Poussière, poussière.
On s’retrouve tout seul à la fin,
Tout l’monde pareil,
Devant le soleil qui s’éteint,
A la même enseigne, tous les mêmes enfin.
Qu’on soit black de peau, qu’on soit blanc, qu’on soit jaune
Qu’on parle l’eskimo ou l’indien d’Amazone,
Qu’on mange avec ses doigts ou avec une fourchette,
Qu’on croie en Dieu, Bouddha, Mahomet,
Quels que soient le langage, les coutumes,
On est tous de passage, potentiellement posthumes,
Poussière, poussière.
On s’retrouve tout seul à la fin,
Tout l’monde pareil,
Devant le soleil qui s’éteint,
A la même enseigne, tous les mêmes enfin.
Dans ce monde sans âme
Où l’homme est un loup pour l’homme,
La seule égalité, la seule morale en somme,
Poussière, poussière.
On s’retrouve tout seul à la fin,
Tout l’monde pareil,
Devant le soleil qui s’éteint,
A la même enseigne, tous les mêmes enfin.