Les paroles de la chanson
« Pour que tu ne meures pas »
Yves Duteil
Pour que tu ne meures pas
J’ai prié jour et nuit
Un Dieu que j’ignorais
Pour qu’il te garde en vie
Je priais à genoux
Pour qu’il te laisse à nous
Je faisais les prières
Que je me récitais
Lorsque j’étais enfant
Je disais Notre Père
Je vous salue Marie....
Et je cherchais en vain
Dans le ciel ici bas
Des instants de répit
Que je trouvais enfin
Dans le creux de tes bras
Pour que tu restes en vie
J’aurais prié Bouddha...
Pour que tu ne meures pas
Je plongeais mon regard
Au plus profond du tien
Pour soigner ton chagrin
J’aurais voulu qu’on m’aide
A trouver le remède
J’aurais changé l’histoire
Pour effacer les jours
Qui déposaient du noir
Autour de ton amour
Pour en briser le cours
J’aurais voulu pouvoir
Voler à ton secours...
Pour que tu ne meures pas
J’ai chanté certains soirs
Tous les chants de l’espoir
Que j’écrivais pour toi
Et je montais si haut
Vers l’infiniment beau
Pour pouvoir rapporter
Un peu d’éternité
A t’offrir en cadeau
Quand je t’ouvrais mon coeur
En caressant ta peau
Comme on touche un trésor
Tu te battais si bien
On se sentait si forts
J’aurais cherché plus loin
Pour que tu vives encore...
Je ne saurai jamais
Ce qui de tout cela
Nous a gardé ensemble
Du courage de vivre
Ou du bonheur qui tremble
Mais je bénis le ciel
De t’avoir épargnée
Lorsqu’à la nuit tombée
Je t’entends respirer
Et je connais le prix
De chaque instant de paix
Que nous offre aujourd’hui
Et l’amour qu’il fallait
Pour que tu restes ici...
Pour que tu ne meures pas,
J’aurais donné ma vie.
J’ai prié jour et nuit
Un Dieu que j’ignorais
Pour qu’il te garde en vie
Je priais à genoux
Pour qu’il te laisse à nous
Je faisais les prières
Que je me récitais
Lorsque j’étais enfant
Je disais Notre Père
Je vous salue Marie....
Et je cherchais en vain
Dans le ciel ici bas
Des instants de répit
Que je trouvais enfin
Dans le creux de tes bras
Pour que tu restes en vie
J’aurais prié Bouddha...
Pour que tu ne meures pas
Je plongeais mon regard
Au plus profond du tien
Pour soigner ton chagrin
J’aurais voulu qu’on m’aide
A trouver le remède
J’aurais changé l’histoire
Pour effacer les jours
Qui déposaient du noir
Autour de ton amour
Pour en briser le cours
J’aurais voulu pouvoir
Voler à ton secours...
Pour que tu ne meures pas
J’ai chanté certains soirs
Tous les chants de l’espoir
Que j’écrivais pour toi
Et je montais si haut
Vers l’infiniment beau
Pour pouvoir rapporter
Un peu d’éternité
A t’offrir en cadeau
Quand je t’ouvrais mon coeur
En caressant ta peau
Comme on touche un trésor
Tu te battais si bien
On se sentait si forts
J’aurais cherché plus loin
Pour que tu vives encore...
Je ne saurai jamais
Ce qui de tout cela
Nous a gardé ensemble
Du courage de vivre
Ou du bonheur qui tremble
Mais je bénis le ciel
De t’avoir épargnée
Lorsqu’à la nuit tombée
Je t’entends respirer
Et je connais le prix
De chaque instant de paix
Que nous offre aujourd’hui
Et l’amour qu’il fallait
Pour que tu restes ici...
Pour que tu ne meures pas,
J’aurais donné ma vie.