Les paroles de la chanson
« Pour mémoire »
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Comme un dimanche en province
Une porte qui grince
Et se ferme
Sur le gris
De nos vies
Avant que de guerre lasse
Ne s’installe à nos places
Soit la haine
Soit l’ennui
L’ennemi
L’un de l’autre l’otage
Ouvrons la porte de la cage
Avant que les regrets
Et les remords
Ne nous dévorent
Il n’y a plus grand chose à lire
Dans nos yeux
Peut-être on y voulait voir
Que du bleu
Mais qu’ils brillent encore
Dans nos regards
Il n’y a plus grand chose à faire
Pour nous deux
Peut-être on a trop joué
Avec le feu
Mais qu’il brûle au moins
Dans notre histoire
Pour mémoire.
Comme on perd de l’altitude
Au poids des habitudes
Qui nous prennent
Et nous plient
Sur le lit
Avant que nos nez ne s’allongent
Sur de pauvres mensonges
Et des scènes
Et les cris
Du mépris
L’un de l’autre l’esclave
Ouvrons la porte de la cave
Avant que les regrets
Et les remords
Ne nous dévorent
Il n’y a plus grand chose à lire
Dans nos yeux
Peut-être on y voulait voir
Que du bleu
Mais qu’ils brillent encore
Dans nos regards
Il n’y a plus grand chose à faire
Pour nous deux
Peut-être on a trop joué
Avec le feu
Mais qu’il brûle au moins
Dans notre histoire...
... Comme dans un jeu d’enfant
C’était pour rire
On est trop grands
Pour se punir
Les voiles dans le vent
Il faut partir
Nous faire présent
De l’avenir...
Il n’y a plus grand chose à lire
Dans nos yeux
Peut-être on y voulait voir
Que du bleu
Mais qu’ils brillent encore
Dans nos regards
Il n’y a plus grand chose à faire
Pour nous deux
Peut-être on a trop joué
Avec le feu
Mais qu’il brûle au moins
Dans notre histoire
Pour mémoire.
Une porte qui grince
Et se ferme
Sur le gris
De nos vies
Avant que de guerre lasse
Ne s’installe à nos places
Soit la haine
Soit l’ennui
L’ennemi
L’un de l’autre l’otage
Ouvrons la porte de la cage
Avant que les regrets
Et les remords
Ne nous dévorent
Il n’y a plus grand chose à lire
Dans nos yeux
Peut-être on y voulait voir
Que du bleu
Mais qu’ils brillent encore
Dans nos regards
Il n’y a plus grand chose à faire
Pour nous deux
Peut-être on a trop joué
Avec le feu
Mais qu’il brûle au moins
Dans notre histoire
Pour mémoire.
Comme on perd de l’altitude
Au poids des habitudes
Qui nous prennent
Et nous plient
Sur le lit
Avant que nos nez ne s’allongent
Sur de pauvres mensonges
Et des scènes
Et les cris
Du mépris
L’un de l’autre l’esclave
Ouvrons la porte de la cave
Avant que les regrets
Et les remords
Ne nous dévorent
Il n’y a plus grand chose à lire
Dans nos yeux
Peut-être on y voulait voir
Que du bleu
Mais qu’ils brillent encore
Dans nos regards
Il n’y a plus grand chose à faire
Pour nous deux
Peut-être on a trop joué
Avec le feu
Mais qu’il brûle au moins
Dans notre histoire...
... Comme dans un jeu d’enfant
C’était pour rire
On est trop grands
Pour se punir
Les voiles dans le vent
Il faut partir
Nous faire présent
De l’avenir...
Il n’y a plus grand chose à lire
Dans nos yeux
Peut-être on y voulait voir
Que du bleu
Mais qu’ils brillent encore
Dans nos regards
Il n’y a plus grand chose à faire
Pour nous deux
Peut-être on a trop joué
Avec le feu
Mais qu’il brûle au moins
Dans notre histoire
Pour mémoire.