Les paroles de la chanson
« Poupée de carton »
Jean Sorbier
Ah, combien j’aimerais pouvoir baiser votre main
Et vos lèvres de carmin
Ah, combien je voudrais troubler le calme si pur
De vos deux grands yeux d’azur
Ah, combien je voudrais un jour
Vous soumettre à mon amour
Si vous pouviez seulement
M’écouter un moment
Un tout petit, petit moment
Le malheur dans tout ça, c’est que vos yeux, votre main
Et vos lèvres de carmin
Et votre cœur aussi, si vous avez par malheur
Ce que l’on appelle un cœur
Tout, tout dans votre petit corps mignon
Tout, tout, hélas, hélas, est en carton
Car, ô charmant objet, femme si bien imitée
Vous n’êtes qu’une poupée
Et pourtant, quand je pense au passé de mon amour
Je me dis bien souvent que j’ai souhaité bien des jours
Que le cœur de ma mie fût au moins tout simplement
En carton
Car un cœur de carton, ça vaut mieux assurément
Et ça fait moins souffrir qu’un cœur de granit
Même s’il est dans un corps de marbre
Dont le visage ment quand il sourit
Ah, combien je voudrais, imitation d’être humain
Vous demander votre main
Je serais sûr du moins de votre fidélité
De votre sincérité
Et que j’aie raison ou tort
Nous serions toujours bien d’accord
Vous ne me mentiriez jamais et vous sauriez m’aimer
Comme on n’aime vraiment jamais
Je pourrais sans danger vous laisser seule un moment
Avec cet ami charmant
Qui par un soir d’été vous apparaît brusquement
Par hasard comme un amant
Mais tout dans votre petit corps mignon
Tout, par bonheur, oui, tout est en carton
Car, ô charmant objet, femme si bien imitée
Vous n’êtes qu’une poupée
Et vos lèvres de carmin
Ah, combien je voudrais troubler le calme si pur
De vos deux grands yeux d’azur
Ah, combien je voudrais un jour
Vous soumettre à mon amour
Si vous pouviez seulement
M’écouter un moment
Un tout petit, petit moment
Le malheur dans tout ça, c’est que vos yeux, votre main
Et vos lèvres de carmin
Et votre cœur aussi, si vous avez par malheur
Ce que l’on appelle un cœur
Tout, tout dans votre petit corps mignon
Tout, tout, hélas, hélas, est en carton
Car, ô charmant objet, femme si bien imitée
Vous n’êtes qu’une poupée
Et pourtant, quand je pense au passé de mon amour
Je me dis bien souvent que j’ai souhaité bien des jours
Que le cœur de ma mie fût au moins tout simplement
En carton
Car un cœur de carton, ça vaut mieux assurément
Et ça fait moins souffrir qu’un cœur de granit
Même s’il est dans un corps de marbre
Dont le visage ment quand il sourit
Ah, combien je voudrais, imitation d’être humain
Vous demander votre main
Je serais sûr du moins de votre fidélité
De votre sincérité
Et que j’aie raison ou tort
Nous serions toujours bien d’accord
Vous ne me mentiriez jamais et vous sauriez m’aimer
Comme on n’aime vraiment jamais
Je pourrais sans danger vous laisser seule un moment
Avec cet ami charmant
Qui par un soir d’été vous apparaît brusquement
Par hasard comme un amant
Mais tout dans votre petit corps mignon
Tout, par bonheur, oui, tout est en carton
Car, ô charmant objet, femme si bien imitée
Vous n’êtes qu’une poupée