Les paroles de la chanson
« Poison rouge »
Offenbach
C’est p’t’être la façon qu’ t’as souri
En m’ disant: Salut! À prochaine
Mais depuis c’fois là ton smile me suit
J’vois ta silhouette qui frôle la mienne
Depuis qu’t’as flashé dans ma vie
Avec ton maudit chandail rouge
J’te vois t’tortiller dans mes nuits
Entre les bouteilles de vin qui bougent
T’es v’nu déranger mon sommeil
T’es v’nu y offrir des rêves sans suite
T’es v’nu tout’ boulverser mes nuits
T’es v’nu aveugler mon soleil
Vipère du désir entre mes pattes
Tu m’as mordu ma plus grosse veine
Tu m’es tombé dans l’jus d’tomate
Un soir qu’la coupe était ben pleine
Pis j’aime ça même si ça m’fait mal
Tu m’as piqué dans l’noir des yeux
J’te sens brûler au beau milieu
De l’espace sanguin qui m’avale
Les frissons paralysent ma peau
Tout seul comme quand on sent qu’ça vient
Le rush qui m’grimpe le long du dos
La sueur qui coule... et pis pu rien
En m’ disant: Salut! À prochaine
Mais depuis c’fois là ton smile me suit
J’vois ta silhouette qui frôle la mienne
Depuis qu’t’as flashé dans ma vie
Avec ton maudit chandail rouge
J’te vois t’tortiller dans mes nuits
Entre les bouteilles de vin qui bougent
T’es v’nu déranger mon sommeil
T’es v’nu y offrir des rêves sans suite
T’es v’nu tout’ boulverser mes nuits
T’es v’nu aveugler mon soleil
Vipère du désir entre mes pattes
Tu m’as mordu ma plus grosse veine
Tu m’es tombé dans l’jus d’tomate
Un soir qu’la coupe était ben pleine
Pis j’aime ça même si ça m’fait mal
Tu m’as piqué dans l’noir des yeux
J’te sens brûler au beau milieu
De l’espace sanguin qui m’avale
Les frissons paralysent ma peau
Tout seul comme quand on sent qu’ça vient
Le rush qui m’grimpe le long du dos
La sueur qui coule... et pis pu rien