Les paroles de la chanson
« Plus d'amour »
Assassin
Ça y est, il est connu, reconnu
Il a la peau du ventre bien tendue
Il fait des télés et sa femme est mille fois cocue
Mais il s’en bat les couilles, il avance, il nique la vie
La misère dans laquelle il a baigné bannit tout sens interdit
Ses vrais amis qui l’aimaient et qui voulaient l’aider
Il les a tèj en les insultant "bande d’enculés"
Sous prétexte qu’ils ne le comprenaient pas, que seul lui savait
Et que eux, ne comprendraient pas où il voulait vraiment aller
Nouveaux proches, plus de thunes dans les poches, il apparaît
Propre sur lui, ses fringues valent le salaire d’un mois d’un ouvrier
Mais il sait d’où il vient et il sait qu’il a couillé
Donc la parano est son premier associé
Son deuxième fut le teuchi mais aujourd’hui, c’est la CC
Et les meufs qu’il nique ne sucent que pour le blé et la notoriété
Quand il s’endort, il a beau y penser, il a trop d’amour propre
Pour rectifier le tir, une réputation, trop d’amour propre
Qui le tient dans son empire, chaque soupir inspire la solitude
Plus de désir, réussir ne se limite pas à remplir sa propre tirelire
Refrain (x2)
Plus d’amour, que de la thune et des vautours
Tour-à-tour les tourments, les peines tournent autour des tours
Un empire, une cour de fourbes aux échines pliées
Voilà ce qu’il lui reste à aimer, plus d’amour
Il aimait la nature, les forêts, les torrents, les cascades
L’air pur des vallées quand tu y respire, tu t’évades
Il pensait aux sept prochaines générations quand sa main altérait
Le cycle naturel de la régénération
Pensait aux répercussions
Qu’engendraient ses prises de possession
Sur son plus cher cadeau, la terre notre plus cher joyau
Mais ils sont arrivés et ils ne pensaient pas comme lui
Lui-même était guerrier, eux, abrutis, armés de fusils
Pour eux, c’était un sauvage, doublé d’un mystique
Et son humilité cachait sûrement des vices maléfiques.
Une seule solution, l’anéantir, lui enlever ce qu’il aime
Sa liberté, son soupir, raser les forêts, polluer les océans
Rendre l’air irrespirable, condamner les vents
Tuer les sorciers, les shamans, ces charlatans
Apprendre aux enfants la vie sous médicaments
Refrain (x2)
Elle aimait se placer, parler au plus connu
Lui l’aimait vraiment mais à la télé personne ne l’avait jamais vu
Elle le menait en bateau, tard la nuit ou le matin tôt
Fumait ses lar-do, suçait ses euros
Elle était bonne avec de la répartie et sexy, et ouvrir ses jambes
À un inconnu blindé ne l’a jamais fait douter de son but précis
Se mettre à l’abri, incomprise de sa famille
Lui était prêt à prendre sur lui mais ça, elle ne l’a jamais vu
Elle baisait avec lui par routine pour garder son dû
Mais tant va la cruche à l’eau qu’à la fin elle se casse
Histoire de tass, il prit ses jambes à son cou et la laissa sur la paillasse
À force de se faire bouillave, ses trompes se sont bouchées
Aujourd’hui nouvelle donnée, elle ne peut plus avoir de bébés
Lui son coeur fut brisé, elle a tenté de se suicider
Vu que son dernier keum était marié
Et ce qui l’intéressait n’était pas ses sentiments
Mais de la péter le weekend en privé
Les yeux rivés sur le néant, elle n’a plus de volonté
Refrain (x2)
Il a la peau du ventre bien tendue
Il fait des télés et sa femme est mille fois cocue
Mais il s’en bat les couilles, il avance, il nique la vie
La misère dans laquelle il a baigné bannit tout sens interdit
Ses vrais amis qui l’aimaient et qui voulaient l’aider
Il les a tèj en les insultant "bande d’enculés"
Sous prétexte qu’ils ne le comprenaient pas, que seul lui savait
Et que eux, ne comprendraient pas où il voulait vraiment aller
Nouveaux proches, plus de thunes dans les poches, il apparaît
Propre sur lui, ses fringues valent le salaire d’un mois d’un ouvrier
Mais il sait d’où il vient et il sait qu’il a couillé
Donc la parano est son premier associé
Son deuxième fut le teuchi mais aujourd’hui, c’est la CC
Et les meufs qu’il nique ne sucent que pour le blé et la notoriété
Quand il s’endort, il a beau y penser, il a trop d’amour propre
Pour rectifier le tir, une réputation, trop d’amour propre
Qui le tient dans son empire, chaque soupir inspire la solitude
Plus de désir, réussir ne se limite pas à remplir sa propre tirelire
Refrain (x2)
Plus d’amour, que de la thune et des vautours
Tour-à-tour les tourments, les peines tournent autour des tours
Un empire, une cour de fourbes aux échines pliées
Voilà ce qu’il lui reste à aimer, plus d’amour
Il aimait la nature, les forêts, les torrents, les cascades
L’air pur des vallées quand tu y respire, tu t’évades
Il pensait aux sept prochaines générations quand sa main altérait
Le cycle naturel de la régénération
Pensait aux répercussions
Qu’engendraient ses prises de possession
Sur son plus cher cadeau, la terre notre plus cher joyau
Mais ils sont arrivés et ils ne pensaient pas comme lui
Lui-même était guerrier, eux, abrutis, armés de fusils
Pour eux, c’était un sauvage, doublé d’un mystique
Et son humilité cachait sûrement des vices maléfiques.
Une seule solution, l’anéantir, lui enlever ce qu’il aime
Sa liberté, son soupir, raser les forêts, polluer les océans
Rendre l’air irrespirable, condamner les vents
Tuer les sorciers, les shamans, ces charlatans
Apprendre aux enfants la vie sous médicaments
Refrain (x2)
Elle aimait se placer, parler au plus connu
Lui l’aimait vraiment mais à la télé personne ne l’avait jamais vu
Elle le menait en bateau, tard la nuit ou le matin tôt
Fumait ses lar-do, suçait ses euros
Elle était bonne avec de la répartie et sexy, et ouvrir ses jambes
À un inconnu blindé ne l’a jamais fait douter de son but précis
Se mettre à l’abri, incomprise de sa famille
Lui était prêt à prendre sur lui mais ça, elle ne l’a jamais vu
Elle baisait avec lui par routine pour garder son dû
Mais tant va la cruche à l’eau qu’à la fin elle se casse
Histoire de tass, il prit ses jambes à son cou et la laissa sur la paillasse
À force de se faire bouillave, ses trompes se sont bouchées
Aujourd’hui nouvelle donnée, elle ne peut plus avoir de bébés
Lui son coeur fut brisé, elle a tenté de se suicider
Vu que son dernier keum était marié
Et ce qui l’intéressait n’était pas ses sentiments
Mais de la péter le weekend en privé
Les yeux rivés sur le néant, elle n’a plus de volonté
Refrain (x2)