Les paroles de la chanson
« Petit marin de bois »
Gérard Jaffrès
Par amour, elle avait jeté son cœur à l’eau
Pour un petit matelot
Il était jeune, il était beau, oui, mais voilà
C’était un p’tit marin de bois
Il était reparti sans elle, sur son bateau
Promettant de revenir bientôt
Après des mois en mer de Chine, à Macao
Elle retomberait dans ses bras
Sa mère lui dit "Quelle insouciance,
Pour un petit marin comme ça!"
Son père lui dit "Quelle inconscience,
Les marins de bois ne reviennent pas!"
Mais chaque soir, elle se promenait sur le port
Tellement son amour était fort
Ce sont des choses, voyez-vous, qui n’ se commandent pas
Même pour un p’tit marin de bois
Sa mère lui dit "Ma fille méfiance,
Ce n’est qu’un petit marin comme ça!"
Son père lui dit "Quelle imprudence,
Se fier à un marin de bois!"
Et la nuit, dans ses rêves étranges
Elle partait le retrouver là-bas
Sur des îles vertes et orange
Où le soleil ne faiblit pas
Mais, comme à l’automne il n’était pas revenu,
L’espoir peu à peu disparut
Et ses parents, un samedi, la marièrent
A un grand marin de fer
Et les gens disaient "Quelle chance,
A un grand marin comme ça"
Mais dans son cœur un vide immense,
Son petit marin de bois
Par amour, elle avait jeté son cœur à l’eau
Pour un petit matelot
Mais seule la mer, dans ses silences, sait pourquoi
Certains marins ne reviennent pas
Pour un petit matelot
Il était jeune, il était beau, oui, mais voilà
C’était un p’tit marin de bois
Il était reparti sans elle, sur son bateau
Promettant de revenir bientôt
Après des mois en mer de Chine, à Macao
Elle retomberait dans ses bras
Sa mère lui dit "Quelle insouciance,
Pour un petit marin comme ça!"
Son père lui dit "Quelle inconscience,
Les marins de bois ne reviennent pas!"
Mais chaque soir, elle se promenait sur le port
Tellement son amour était fort
Ce sont des choses, voyez-vous, qui n’ se commandent pas
Même pour un p’tit marin de bois
Sa mère lui dit "Ma fille méfiance,
Ce n’est qu’un petit marin comme ça!"
Son père lui dit "Quelle imprudence,
Se fier à un marin de bois!"
Et la nuit, dans ses rêves étranges
Elle partait le retrouver là-bas
Sur des îles vertes et orange
Où le soleil ne faiblit pas
Mais, comme à l’automne il n’était pas revenu,
L’espoir peu à peu disparut
Et ses parents, un samedi, la marièrent
A un grand marin de fer
Et les gens disaient "Quelle chance,
A un grand marin comme ça"
Mais dans son cœur un vide immense,
Son petit marin de bois
Par amour, elle avait jeté son cœur à l’eau
Pour un petit matelot
Mais seule la mer, dans ses silences, sait pourquoi
Certains marins ne reviennent pas