Les paroles de la chanson
« Pepito »
Lyne Clevers
Il y a bien longtemps déjà
À la même heure, un jour,
Cuba vit naître
Deux petits êtres
Qui n’eurent qu’un maître
L’amour toujours
Pepito, Pepito
Pepito et Pepita
En naissant, gentiment
Se tendirent leurs petits bras
Puis ils se regardèrent comme ça
À six mois, ils louchaient déjà
Pepito, Pepito
Pepito et Pepita
S’aimant tous deux follement
À trois ans et deux jours
Ils s’enlacèrent
Et se jurèrent
D’un cœur sincère
L’amour toujours
Pepito, Pepito
Pepito et Pepita
Toute l’année
Se donnaient
Des mèches de leurs cheveux plats
Devenus chauves à ce régime-là
Ils s’offrirent du crin d’ leurs matelas
Pepito, Pepito
Pepito et Pepita
Parfois, au fond des grands bois
Ils s’enlaçaient si fort
Que les singesses
D’vant leurs prouesses
Criaient sans cesse
"Encore! Encore!"
Pepito, Pepito
Pepito et Pepita
S’adoraient
Sans arrêt
Même au milieu des pampas
Et plus de la moitié d’ Cuba
Les appelait maman, papa
Pepito, Pepito
Pepito et Pepita
Ayant tout près de cent ans
Nos gentils tourtereaux
L’âme légère
Au ciel montèrent
Trouver saint Pierre
Oui, mais là-haut
Pepito, Pepito
Pepito et Pepita
S’adoraient
S’ caressaient
Au lieu d’ chanter Hosanna
Pour que les anges les imitent pas
Sur Terre, on les réexpédia
Pepito, Pepito
Pepito et Pepita
À la même heure, un jour,
Cuba vit naître
Deux petits êtres
Qui n’eurent qu’un maître
L’amour toujours
Pepito, Pepito
Pepito et Pepita
En naissant, gentiment
Se tendirent leurs petits bras
Puis ils se regardèrent comme ça
À six mois, ils louchaient déjà
Pepito, Pepito
Pepito et Pepita
S’aimant tous deux follement
À trois ans et deux jours
Ils s’enlacèrent
Et se jurèrent
D’un cœur sincère
L’amour toujours
Pepito, Pepito
Pepito et Pepita
Toute l’année
Se donnaient
Des mèches de leurs cheveux plats
Devenus chauves à ce régime-là
Ils s’offrirent du crin d’ leurs matelas
Pepito, Pepito
Pepito et Pepita
Parfois, au fond des grands bois
Ils s’enlaçaient si fort
Que les singesses
D’vant leurs prouesses
Criaient sans cesse
"Encore! Encore!"
Pepito, Pepito
Pepito et Pepita
S’adoraient
Sans arrêt
Même au milieu des pampas
Et plus de la moitié d’ Cuba
Les appelait maman, papa
Pepito, Pepito
Pepito et Pepita
Ayant tout près de cent ans
Nos gentils tourtereaux
L’âme légère
Au ciel montèrent
Trouver saint Pierre
Oui, mais là-haut
Pepito, Pepito
Pepito et Pepita
S’adoraient
S’ caressaient
Au lieu d’ chanter Hosanna
Pour que les anges les imitent pas
Sur Terre, on les réexpédia
Pepito, Pepito
Pepito et Pepita