Les paroles de la chanson
« Pays chaud »
Véronique Pestel
Pays chaud comme un adolescent
Pays chaud comme un enfant
Qui n’a plus d’âge
À force d’étonnement
Pays chauve comme un vieux de mille ans
Qui met des chapeaux pour sembler moins nu
Pays chauve comme un vieux de mille ans
Qui met des chapeaux pour sembler plus grand
Des chapeaux de couleur, aux couleurs d’un drapeau
Qui jusqu’à prochaine heure
Lui tiendra lieu de peau
Pays fou, comme un flot de mutants
Vague saoule du dernier tyran
Source roule loin de ton mitan
Roule, roule, déchire le rang
Terre sèche comme une tâche de vieux sang
Que les poètes auraient couverte de vent
Terre sèche comme le vieux sang
Que les femmes versent le soir en chantant
Pays savant comme un adolescent
La vie, la mort, Dieu, l’espace et le temps
Sont les propos qu’il tient au monde
Durant que dort le Nord de l’Occident
Pays chaud rit presque trop gentiment
Dans des nuits pleines de musiques américaines
Dans des nuits pleines de rhum blanc
Pays chaud veille qui émerveille
Des troubadours, les descendants
Pays chaud chante qui réenchante
Les chantres euro-décadents
L’Histoire tourne comme la Terre
Ronde poussière du néant
Valse la vie, de guerre en guerre
Vire le vent, de temps en temps
Colon d’avant, colon d’hier
Demain s’y cassera les dents
La vérité, ça change de partenaire
Comme d’épouse Don Juan {x2}
Pays chaud comme un enfant
Qui n’a plus d’âge
À force d’étonnement
Pays chauve comme un vieux de mille ans
Qui met des chapeaux pour sembler moins nu
Pays chauve comme un vieux de mille ans
Qui met des chapeaux pour sembler plus grand
Des chapeaux de couleur, aux couleurs d’un drapeau
Qui jusqu’à prochaine heure
Lui tiendra lieu de peau
Pays fou, comme un flot de mutants
Vague saoule du dernier tyran
Source roule loin de ton mitan
Roule, roule, déchire le rang
Terre sèche comme une tâche de vieux sang
Que les poètes auraient couverte de vent
Terre sèche comme le vieux sang
Que les femmes versent le soir en chantant
Pays savant comme un adolescent
La vie, la mort, Dieu, l’espace et le temps
Sont les propos qu’il tient au monde
Durant que dort le Nord de l’Occident
Pays chaud rit presque trop gentiment
Dans des nuits pleines de musiques américaines
Dans des nuits pleines de rhum blanc
Pays chaud veille qui émerveille
Des troubadours, les descendants
Pays chaud chante qui réenchante
Les chantres euro-décadents
L’Histoire tourne comme la Terre
Ronde poussière du néant
Valse la vie, de guerre en guerre
Vire le vent, de temps en temps
Colon d’avant, colon d’hier
Demain s’y cassera les dents
La vérité, ça change de partenaire
Comme d’épouse Don Juan {x2}