Les paroles de la chanson
« Pauvre rutebeuf »
Jacques Douai
Que sont mes amis devenus
Que j’avais de si près tenus
Et tant aimés
Ils les ont été trop clairsemés
Je crois le vent les a ôtés
L’amour est mort-e
Ce sont amis que vent emporte
Et il ventait devant ma porte
Les emporta
Avec le temps qu’arbre défeuille
Quand il ne reste en branche feuille
Qui n’aille à terre
Avec pauvreté qui m’atterre
Qui de partout me fait la guerre
Au temps d’hiver
Ne convient pas que vous raconte
Comment je me suis mis à honte
En quelle manière
Que sont mes amis devenus
Que j’avais de si près tenus
Et tant aimés
Ils les ont été trop clairsemés
Je crois le vent les a ôtés
L’amour est mort-e
Le mal ne saurait seul venir
Tout ce qui m’était à venir
M’étaient venu
Pauvre sens et pauvre mémoire
M’a Dieu donné le roi de gloire
Et pauvre rente
Et droit qui quand bise vente
Le vent me vient, le vent m’évente
L’amour est mort-e
Ce sont amis que vent emporte
Et il ventait devant ma porte
Les emporta
L’espérance de lendemain
Ce sont mes fêtes.
Que j’avais de si près tenus
Et tant aimés
Ils les ont été trop clairsemés
Je crois le vent les a ôtés
L’amour est mort-e
Ce sont amis que vent emporte
Et il ventait devant ma porte
Les emporta
Avec le temps qu’arbre défeuille
Quand il ne reste en branche feuille
Qui n’aille à terre
Avec pauvreté qui m’atterre
Qui de partout me fait la guerre
Au temps d’hiver
Ne convient pas que vous raconte
Comment je me suis mis à honte
En quelle manière
Que sont mes amis devenus
Que j’avais de si près tenus
Et tant aimés
Ils les ont été trop clairsemés
Je crois le vent les a ôtés
L’amour est mort-e
Le mal ne saurait seul venir
Tout ce qui m’était à venir
M’étaient venu
Pauvre sens et pauvre mémoire
M’a Dieu donné le roi de gloire
Et pauvre rente
Et droit qui quand bise vente
Le vent me vient, le vent m’évente
L’amour est mort-e
Ce sont amis que vent emporte
Et il ventait devant ma porte
Les emporta
L’espérance de lendemain
Ce sont mes fêtes.