Les paroles de la chanson
« Pathologiquement vôtre »
Brice
Une entrée en la matière, Lyon m’a donné le goût des autres
J’ai pas d’idée particulière, juste une pensée qui me taraude
En haut des cimes de belle Fourvière, j’crois que Paris n’est pas des nôtres
Tu aimes descendre pour voir plus clair, même si les nuits tu rentres à l’aube
Je suis pathologiquement vôtre
Surtout pas platoniquement vôtre
On sort du lit tout naturellement, les arbres grimpent haut jusqu’à chez Colas
Quand la rivière est dans l’coeur d’Vincent, y a François qui voit tout d’sa terrasse
Et Max de Villeurbanne voit les gens, Jérôme est à Saint-Jean sur ses traces
Venant du Japon je vois Laurent, regarder Lyon déjà qui l’embrasse
Je suis pathologiquement vôtre
Surtout pas platoniquement vôtre
Le vivier, le vivier
Ensemble, ensemble
Pour toujours, pour toujours
Ton amour, ton amour
Je croyais en arrivant que Meirieu était le nom d’une colline
D’une ville médiévale ou d’un champ, tout sauf les sirènes à l’âme câline
Max, Colas, François et Vincent, m’apprirent qu’elles étaient nos copines
Et je pense bien évidemment, que le vivier Meirieu est notre hymne
Je suis catégoriquement vôtre
Surtout pas platoniquement vôtre
Assurément je suis triste très tôt, de quitter tous ces gens quand je pars
Je vois les Terreaux et Némo, dans l’odyssée des aventures du soir
Les étoiles crissent de voir en haut, les villes du nord m’appeler à la gare
Courir vite jusqu’au bon traîneau, car dans Perrache j’arrive toujours en r’tard
Je suis pathologiquement vôtre
Surtout pas platoniquement vôtre
J’ai pas d’idée particulière, juste une pensée qui me taraude
En haut des cimes de belle Fourvière, j’crois que Paris n’est pas des nôtres
Tu aimes descendre pour voir plus clair, même si les nuits tu rentres à l’aube
Je suis pathologiquement vôtre
Surtout pas platoniquement vôtre
On sort du lit tout naturellement, les arbres grimpent haut jusqu’à chez Colas
Quand la rivière est dans l’coeur d’Vincent, y a François qui voit tout d’sa terrasse
Et Max de Villeurbanne voit les gens, Jérôme est à Saint-Jean sur ses traces
Venant du Japon je vois Laurent, regarder Lyon déjà qui l’embrasse
Je suis pathologiquement vôtre
Surtout pas platoniquement vôtre
Le vivier, le vivier
Ensemble, ensemble
Pour toujours, pour toujours
Ton amour, ton amour
Je croyais en arrivant que Meirieu était le nom d’une colline
D’une ville médiévale ou d’un champ, tout sauf les sirènes à l’âme câline
Max, Colas, François et Vincent, m’apprirent qu’elles étaient nos copines
Et je pense bien évidemment, que le vivier Meirieu est notre hymne
Je suis catégoriquement vôtre
Surtout pas platoniquement vôtre
Assurément je suis triste très tôt, de quitter tous ces gens quand je pars
Je vois les Terreaux et Némo, dans l’odyssée des aventures du soir
Les étoiles crissent de voir en haut, les villes du nord m’appeler à la gare
Courir vite jusqu’au bon traîneau, car dans Perrache j’arrive toujours en r’tard
Je suis pathologiquement vôtre
Surtout pas platoniquement vôtre