Les paroles de la chanson
« Pas de quoi »
Nill Klemm
Ne rien faire, se laisser guider
Par tout ce que les hasards sauront imaginer
Pas de plan, pas de planning compliqué
Puisque tout est écrit, juste déchiffrer
Ne plus être au courant, juste lâcher prise
Oublier le noir le blanc, garder ce qui nous grise
Même plus partisan du moindre effort
Savoir ce qu’on veut, quelquefois c’est trop encore
[Refrain:]
Pas de quoi se poser des questions
Tu les passes en boucle et tu tournes en rond
En attendant, t’éloignes l’inattendu
En espérant, l’inespéré ne viendra plus
Pas de quoi se poser des questions
T’as beau les secouer, les réponses restent au fond
Sans promesse jamais rien n’est parjure
Sans certitude, jamais rien n’est moins sûr
Sans crier gare
Prendre le premier train
Qui s’envole pour quelque part,
Qui accroche le lointain
Eclipser tous les repères comme on perd l’équilibre
Et faire enfin la lumière sur ce que c’est qu’être libre
Se faire invisible pour ne pas être mal vu,
Sourd pour ne pas être cible de tous les malentendus
[Refrain:]
Pas de quoi se poser des questions
Tu les passes en boucle et tu tournes en rond
En attendant, t’éloignes l’inattendu
En espérant, l’inespéré ne viendra plus
Pas de quoi se poser des questions
T’as beau les secouer, les réponses restent au fond
Sans promesse jamais rien n’est parjure
Sans certitude, jamais rien n’est moins sûr
[Pont:]
Juste pour que l’été s’attarde
Et que même la grisaille se farde
Rafraîchir un peu les questions brûlantes
Monter le son des lendemains qui chantent
Par tout ce que les hasards sauront imaginer
Pas de plan, pas de planning compliqué
Puisque tout est écrit, juste déchiffrer
Ne plus être au courant, juste lâcher prise
Oublier le noir le blanc, garder ce qui nous grise
Même plus partisan du moindre effort
Savoir ce qu’on veut, quelquefois c’est trop encore
[Refrain:]
Pas de quoi se poser des questions
Tu les passes en boucle et tu tournes en rond
En attendant, t’éloignes l’inattendu
En espérant, l’inespéré ne viendra plus
Pas de quoi se poser des questions
T’as beau les secouer, les réponses restent au fond
Sans promesse jamais rien n’est parjure
Sans certitude, jamais rien n’est moins sûr
Sans crier gare
Prendre le premier train
Qui s’envole pour quelque part,
Qui accroche le lointain
Eclipser tous les repères comme on perd l’équilibre
Et faire enfin la lumière sur ce que c’est qu’être libre
Se faire invisible pour ne pas être mal vu,
Sourd pour ne pas être cible de tous les malentendus
[Refrain:]
Pas de quoi se poser des questions
Tu les passes en boucle et tu tournes en rond
En attendant, t’éloignes l’inattendu
En espérant, l’inespéré ne viendra plus
Pas de quoi se poser des questions
T’as beau les secouer, les réponses restent au fond
Sans promesse jamais rien n’est parjure
Sans certitude, jamais rien n’est moins sûr
[Pont:]
Juste pour que l’été s’attarde
Et que même la grisaille se farde
Rafraîchir un peu les questions brûlantes
Monter le son des lendemains qui chantent