Les paroles de la chanson
« Pas de chance »
Bourvil
Dès ma naissance
Dans l’existence
Je n’ai jamais été gâté
Je me souviens même
Que à mon baptême
Marraine m’a laissé tomber
Et j’ai failli me noyer tout petiot
Au fond des fonds baptismaux
En premier communiant
J’étais très élégant
Mais j’avais mal au dents
Pas d’chance
Si bien que sur mon piano
Il y a toujours cette photo
Où j’ai l’air d’un idiot
Pas d’chance
A mon certificat
J’ai copié sur un gars
qui se trompait déjà
Pas d’chance
Plus tard au régiment
J’ai fait le mur en sautant
Sur le dos de l’Adjudant
Pas d’chance
Au ministère
Comme secrétaire
Le jour où j’ai débuté
Pas très à l’aise
J’offris une chaise
A la femme du Député
C’était la chaise qui avait un pied cassé
C’est moi que l’on a remplacé
On me pris par faveur
Comme garçon d’ascenseur
Mais cela me donnait mal au cœur
Pas d’chance
Comme chauffeur de taxi
J’aurais bien réussi
Mais j’étais trop poli
Pas d’chance
Des malheurs de ma vie
J’ai fait une poésie
Mais tout le monde en a rit
Pas d’chance
Mes peintures sans efforts
Se vendront à prix d’or
Mais quand je serai mort
Pas d’chance
Au fond je me plains comme cela
Puis je devrais être heureux
Parce que je suis amoureux
Mais seulement, il faudrait l’être à deux
Pas d’chance
Oh, puis après tout
Quand on a tout raté
A quoi bon insister
Il n’y a plus que à se répéter
Pas d’chance
Je m’en fiche pas mal, moi
Comme je suis poète
Parfois dans ma tête
J’imagine le train du bonheur
Qui passe à toute vapeur
Avec ses voyageurs qui dansent
Seulement ce petit train si joli
Il ne s’arrête jamais ici
C’est peut être un oubli
Tant pis
Pas d’chance, hein...
Dans l’existence
Je n’ai jamais été gâté
Je me souviens même
Que à mon baptême
Marraine m’a laissé tomber
Et j’ai failli me noyer tout petiot
Au fond des fonds baptismaux
En premier communiant
J’étais très élégant
Mais j’avais mal au dents
Pas d’chance
Si bien que sur mon piano
Il y a toujours cette photo
Où j’ai l’air d’un idiot
Pas d’chance
A mon certificat
J’ai copié sur un gars
qui se trompait déjà
Pas d’chance
Plus tard au régiment
J’ai fait le mur en sautant
Sur le dos de l’Adjudant
Pas d’chance
Au ministère
Comme secrétaire
Le jour où j’ai débuté
Pas très à l’aise
J’offris une chaise
A la femme du Député
C’était la chaise qui avait un pied cassé
C’est moi que l’on a remplacé
On me pris par faveur
Comme garçon d’ascenseur
Mais cela me donnait mal au cœur
Pas d’chance
Comme chauffeur de taxi
J’aurais bien réussi
Mais j’étais trop poli
Pas d’chance
Des malheurs de ma vie
J’ai fait une poésie
Mais tout le monde en a rit
Pas d’chance
Mes peintures sans efforts
Se vendront à prix d’or
Mais quand je serai mort
Pas d’chance
Au fond je me plains comme cela
Puis je devrais être heureux
Parce que je suis amoureux
Mais seulement, il faudrait l’être à deux
Pas d’chance
Oh, puis après tout
Quand on a tout raté
A quoi bon insister
Il n’y a plus que à se répéter
Pas d’chance
Je m’en fiche pas mal, moi
Comme je suis poète
Parfois dans ma tête
J’imagine le train du bonheur
Qui passe à toute vapeur
Avec ses voyageurs qui dansent
Seulement ce petit train si joli
Il ne s’arrête jamais ici
C’est peut être un oubli
Tant pis
Pas d’chance, hein...