Les paroles de la chanson
« Pars »
Colette Renard
{Refrain:}
Pars sans te retourner
Pars sans te souvenir
Ni mes baisers ni mes étreintes
En ton cœur n’ont laissé d’empreinte
Je n’ai pas su t’aimer
Pas su te retenir
Pars sans un mot d’adieu
Pars, laisse-moi souffrir
Le vent qui t’apporta t’emporte
Et dussé-je en mourir, qu’importe
Pars sans te retourner
Pars sans te souvenir
Ne t’excuse pas, tu n’es pas coupable
N’aie pas de pitié, n’aie pas de regrets
Pour moi seulement je suis pitoyable
Mais mon désespoir reste mon secret
Tu peux, sans remords, briser notre chaîne
Nous ne sommes plus que deux étrangers
Poursuis ton chemin sans craindre ma haine
Car d’autres sauront bien mieux me venger
Puisque à ton tour, va, on te trahira [variante: Puisque après tout, ta honte partira]
Et comme moi tu souffriras
{au Refrain}
C’est de notre amour l’affreuse agonie
Et tout comme lui, vois, le jour se meurt
L’ombre qui descend s’étend, infinie
Les voiles du soir cacheront mes pleurs
Tu ne sauras pas toute ma détresse
Tout le vide affreux de ton abandon
Prends dans un baiser l’ultime caresse [variante: Pars dans un baiser, je le veux caresse]
Puis tu t’en iras avec mon pardon
Le souvenir est un chemin très long
Que l’on parcourt à reculons
{au Refrain}
Pars sans te retourner
Pars sans te souvenir
Ni mes baisers ni mes étreintes
En ton cœur n’ont laissé d’empreinte
Je n’ai pas su t’aimer
Pas su te retenir
Pars sans un mot d’adieu
Pars, laisse-moi souffrir
Le vent qui t’apporta t’emporte
Et dussé-je en mourir, qu’importe
Pars sans te retourner
Pars sans te souvenir
Ne t’excuse pas, tu n’es pas coupable
N’aie pas de pitié, n’aie pas de regrets
Pour moi seulement je suis pitoyable
Mais mon désespoir reste mon secret
Tu peux, sans remords, briser notre chaîne
Nous ne sommes plus que deux étrangers
Poursuis ton chemin sans craindre ma haine
Car d’autres sauront bien mieux me venger
Puisque à ton tour, va, on te trahira [variante: Puisque après tout, ta honte partira]
Et comme moi tu souffriras
{au Refrain}
C’est de notre amour l’affreuse agonie
Et tout comme lui, vois, le jour se meurt
L’ombre qui descend s’étend, infinie
Les voiles du soir cacheront mes pleurs
Tu ne sauras pas toute ma détresse
Tout le vide affreux de ton abandon
Prends dans un baiser l’ultime caresse [variante: Pars dans un baiser, je le veux caresse]
Puis tu t’en iras avec mon pardon
Le souvenir est un chemin très long
Que l’on parcourt à reculons
{au Refrain}