Les paroles de la chanson
« Paroles en l'air et pas perdus »
Juliette
Paroles en l’air et pas perdus
Émaillent la trame du temps qui passe
D’instants magiques et suspendus
Mais qui ne laissent aucune trace
Sauf les histoires que l’on raconte
Qui se maquillent au fil des ans
S’habillent, se fardent et vont sans honte
Se pavaner au gré du vent
{Refrain, x2}
Un pas pour rien, un mot pour rire
Un entrechat, une ritournelle
Et les rengaines éternelles
Pour oublier l’ monde qui chavire
Paroles volées s’envoient en l’air
Paroles données sont prisonnières
Des grands moulins qui les retiennent
Quand le vent tombe
En attendant qu’on les délivre
Les mots s’ennuient, ils font des livres
Mais quand un souffle les ranime
Les mots se pressent et se bousculent
Toutes les paroles des gens qui râlent
De ceux qui aiment, de ceux qui hurlent
S’échappent et montent du fond des cours
Passent les fenêtres, dévalent les rues
A la rencontre des gens pressés
Des gens d’affaires qui n’entendent pas
{au Refrain, x2}
Paroles perdues de ceux qui traînent
Ceux qui hésitent et qui attendent
En faisant croire qu’ils se promènent
Qui parlent tout seuls et puis qui rentrent
Retrouver le poste de télé
Cette merveille dont on a fait
Juste un poste à souder les mômes
Histoire de les rendre muets
Paroles légères des monte-en-l’air
Paroles galères des mensonges
Paroles de rien qu’on dit pour plaire
Et qu’on regrette dans les songes
Paroles amères des colères
De ceux qui triment et qui se lassent
De courir après des chimères
Pour finir au fond de l’impasse
{au Refrain, x2}
Pendant tout ce temps, le temps creuse
De fines ravines et des étoiles
Des chemins creux sur les visages
De ceux qui disent les histoires
{au Refrain, x3}
Émaillent la trame du temps qui passe
D’instants magiques et suspendus
Mais qui ne laissent aucune trace
Sauf les histoires que l’on raconte
Qui se maquillent au fil des ans
S’habillent, se fardent et vont sans honte
Se pavaner au gré du vent
{Refrain, x2}
Un pas pour rien, un mot pour rire
Un entrechat, une ritournelle
Et les rengaines éternelles
Pour oublier l’ monde qui chavire
Paroles volées s’envoient en l’air
Paroles données sont prisonnières
Des grands moulins qui les retiennent
Quand le vent tombe
En attendant qu’on les délivre
Les mots s’ennuient, ils font des livres
Mais quand un souffle les ranime
Les mots se pressent et se bousculent
Toutes les paroles des gens qui râlent
De ceux qui aiment, de ceux qui hurlent
S’échappent et montent du fond des cours
Passent les fenêtres, dévalent les rues
A la rencontre des gens pressés
Des gens d’affaires qui n’entendent pas
{au Refrain, x2}
Paroles perdues de ceux qui traînent
Ceux qui hésitent et qui attendent
En faisant croire qu’ils se promènent
Qui parlent tout seuls et puis qui rentrent
Retrouver le poste de télé
Cette merveille dont on a fait
Juste un poste à souder les mômes
Histoire de les rendre muets
Paroles légères des monte-en-l’air
Paroles galères des mensonges
Paroles de rien qu’on dit pour plaire
Et qu’on regrette dans les songes
Paroles amères des colères
De ceux qui triment et qui se lassent
De courir après des chimères
Pour finir au fond de l’impasse
{au Refrain, x2}
Pendant tout ce temps, le temps creuse
De fines ravines et des étoiles
Des chemins creux sur les visages
De ceux qui disent les histoires
{au Refrain, x3}