Les paroles de la chanson
« Parlez-moi d'elle »
Michel Sardou
Nous avons eu dans la vie
Des éclairs de vraie magie,
Estuaires où les bateaux chavirent
Au jeu du meilleur et du pire.
Nous avons été parfaits...
Faire l’amour comme on l’a fait
C’était l’avoir fait pour toujours,
Mais ça ne dure jamais toujours...
Parlez-moi d’elle,
Rassurez-moi...
Se souvient-elle encore de moi?
Joue-t-elle encore comme on jouait
À c’qu’une aurore ne vienne jamais?
Parlez-moi d’elle,
Consolez-moi...
Mais où est-elle?
Non, ne le dites pas!
Nous avons connu, c’est vrai,
Des nuits de folie, des vraies
Tendresse où les corps s’abandonnent
Au jeu d’une femme et d’un homme.
Les délices et les douleurs,
Les draps trempés par la sueur
Et tes yeux bleus comme une flamme
Au jeu d’un homme et d’une femme.
Parlez-moi d’elle,
Rassurez-moi...
Se souvient-elle encore de moi?
Rêve-t-elle encore comme elle rêvait
À c’qu’une aurore ne vienne jamais?
Parlez-moi d’elle,
Consolez-moi...
Mais où est-elle?
Non, ne le dites pas.
Nous avons été si loin
Qu’au-delà on savait bien
Qu’on s’en allait vers un délire
Unissant s’aimer et mourir
Parlez-moi d’elle,
Rassurez-moi...
Se souvient-elle encore de moi?
Sait-elle encore comme on savait
Qu’un jour l’aurore nous oublierait?
Parlez-moi d’elle,
Consolez-moi...
Mais où est-elle?
Non, ne le dites...
Des éclairs de vraie magie,
Estuaires où les bateaux chavirent
Au jeu du meilleur et du pire.
Nous avons été parfaits...
Faire l’amour comme on l’a fait
C’était l’avoir fait pour toujours,
Mais ça ne dure jamais toujours...
Parlez-moi d’elle,
Rassurez-moi...
Se souvient-elle encore de moi?
Joue-t-elle encore comme on jouait
À c’qu’une aurore ne vienne jamais?
Parlez-moi d’elle,
Consolez-moi...
Mais où est-elle?
Non, ne le dites pas!
Nous avons connu, c’est vrai,
Des nuits de folie, des vraies
Tendresse où les corps s’abandonnent
Au jeu d’une femme et d’un homme.
Les délices et les douleurs,
Les draps trempés par la sueur
Et tes yeux bleus comme une flamme
Au jeu d’un homme et d’une femme.
Parlez-moi d’elle,
Rassurez-moi...
Se souvient-elle encore de moi?
Rêve-t-elle encore comme elle rêvait
À c’qu’une aurore ne vienne jamais?
Parlez-moi d’elle,
Consolez-moi...
Mais où est-elle?
Non, ne le dites pas.
Nous avons été si loin
Qu’au-delà on savait bien
Qu’on s’en allait vers un délire
Unissant s’aimer et mourir
Parlez-moi d’elle,
Rassurez-moi...
Se souvient-elle encore de moi?
Sait-elle encore comme on savait
Qu’un jour l’aurore nous oublierait?
Parlez-moi d’elle,
Consolez-moi...
Mais où est-elle?
Non, ne le dites...