Les paroles de la chanson
« Paris au mois d'août »
Agnès Bihl
Tranquille, flemmard, une petite place
Entre deux rues, face au métro
Et c’est la tournée des terrasses
Et c’est le mois de l’apéro
Voilà l’été du farniente
Il ne se passe plus grand-chose
Mais de balades en cafés
Y a plus qu’à voir la ville en rose
On se pose à l’ombre d’un doute
Et voilà Paris au mois d’août
Voilà le Paris des pigeons
Voilà la saison des pique-niques
Y a plein d’ gamins qui font les cons
Et même des oiseaux à musique
Mais quand Paris te prend la main
Y a plus qu’à voir les choses en face
Se faire l’amour, ça donne faim
Refaire le monde, ça donne soif
C’est l’amour avec ou sans doute
L’amour de Paris au mois d’août
Il y a les matins croissant-beurre
Les p’tits cafés du tête-à-tête
Mais de p’tits déj’ en p’tits bonheurs
C’est déjà l’heure de faire la fête
Et c’est reparti pour un tour
Et pour une nuit de soleil
On se retrouvera, mon amour,
Sur l’autoroute du sommeil
Les vacances au bord de la route
C’est vraiment Paris au mois d’août
Quand un jour de pluie apparaît
Entre deux nuits, y a plus d’ saisons
C’est le ciel qu’on pourrait toucher
Tellement il est bas de plafond
Alors on oublie la lumière
Et quand le cafard vous entraîne
Et qu’y a vraiment plus rien à faire
On s’ promène au bord de la peine
Tombe la pluie goutte que goutte
C’est aussi Paris au mois d’août
Voilà le Paris de personne
Les jours s’écoulent face au canal
Plus rien ne bouge au téléphone
Y a plus qu’à ouvrir son journal
Et puis le soir, sur son vélo
Sous un ciel couleur de vin vieux
Quand on s’envole loin du métro
On a le macadam heureux
À l’ombre d’un cœur ou d’un doute
C’était bien l’amour au mois d’août
Moi, quand le bonheur fait banqueroute
Je r’pense au Paris du mois d’août
Entre deux rues, face au métro
Et c’est la tournée des terrasses
Et c’est le mois de l’apéro
Voilà l’été du farniente
Il ne se passe plus grand-chose
Mais de balades en cafés
Y a plus qu’à voir la ville en rose
On se pose à l’ombre d’un doute
Et voilà Paris au mois d’août
Voilà le Paris des pigeons
Voilà la saison des pique-niques
Y a plein d’ gamins qui font les cons
Et même des oiseaux à musique
Mais quand Paris te prend la main
Y a plus qu’à voir les choses en face
Se faire l’amour, ça donne faim
Refaire le monde, ça donne soif
C’est l’amour avec ou sans doute
L’amour de Paris au mois d’août
Il y a les matins croissant-beurre
Les p’tits cafés du tête-à-tête
Mais de p’tits déj’ en p’tits bonheurs
C’est déjà l’heure de faire la fête
Et c’est reparti pour un tour
Et pour une nuit de soleil
On se retrouvera, mon amour,
Sur l’autoroute du sommeil
Les vacances au bord de la route
C’est vraiment Paris au mois d’août
Quand un jour de pluie apparaît
Entre deux nuits, y a plus d’ saisons
C’est le ciel qu’on pourrait toucher
Tellement il est bas de plafond
Alors on oublie la lumière
Et quand le cafard vous entraîne
Et qu’y a vraiment plus rien à faire
On s’ promène au bord de la peine
Tombe la pluie goutte que goutte
C’est aussi Paris au mois d’août
Voilà le Paris de personne
Les jours s’écoulent face au canal
Plus rien ne bouge au téléphone
Y a plus qu’à ouvrir son journal
Et puis le soir, sur son vélo
Sous un ciel couleur de vin vieux
Quand on s’envole loin du métro
On a le macadam heureux
À l’ombre d’un cœur ou d’un doute
C’était bien l’amour au mois d’août
Moi, quand le bonheur fait banqueroute
Je r’pense au Paris du mois d’août