Les paroles de la chanson
« Paris »
Claire Lise
Quand le ciel perce les nuages du ciel parisien
On va flâner dans les jardins avec deux trois copains
On regarde passer les gens on s’invente leur vie
On s’imagine des romans, on rentre dans leur nid
Et pourtant y a des choses qu’on peut pas inventer
Qui se lisent dans les yeux, dans le corps, dans les mains
Des regards qui trompent pas
Qui trahissent souvent tout ces petits gens là
Ils ont des carapaces, on croise des vieux
Y en a des types pas bien qui marche en titubant
La bouteille à la main, le regard loin devant
Y en a des pathétiques avec leur canne blanche
Leurs manies et leur tics et leur mémoire qui flanche
Y en a des plein d’entrain l’air joyeux sportif
Qui ont pas perdu la main, qui sont toujours très vifs
Et y a les nostalgiques, les yeux plein de souvenirs
Un p’tit sourire magique, une larme de plaisir
Pis y a ceux qui jouent encore qui ont pas eu le temps d’vieillir
Qui ont dans leur coeur la certitude qu’ils ne vont pas partir
On croise des amoureux y en a main dans la main un type qu’est pas encore sûr
Cherchant tous les moyens pour avoir bonne allure
Y en a qui ont bien vécu, qui se regardent à peine
Qui font du m’as-tu-vu, qui doivent avoir de la peine
Et y a les passionnés qui se foutent des autres
Et qui ont déjà oublié qu’on est pas seul sur Terre
Et y a les romantiques certains que leur amour
Pourra passer des siècles sans excès de bravoure
Pis y a ceux qui sont déçus par une histoire qui s’achève
Qui regrettent de n’avoir eu tous les enfants de leurs rêves
On croise des touristes y en a qui s’extasie devant une statue
A croire que par chez eux ils n’en n’ont jamais vu
Y en a qui ont déjà tout fait mais qui reviennent encore
Qui cherchent à combler leur lacune du décor
Y en a qui connaissent tout mieux que n’importe qui
Qui loin de la tour Eiffel ne reconnaissent plus Paris
Y en a qui dropent manger sur leur guide touristique
Oublient de lever l’nez sur le Paris Mystique
Y a ceux qui ont compris comment suivre leur chemin
Qui s’arrêtent au Sans soucis pour écouter les musiciens
Quand le soleil s’en va éclairer d’autres villes
On rentre tout rempli de nos belles rêveries
On s’assoit un instant autour d’une bougie
Et c’est à ce moment là qu’on songe à nos jeunes vies
On va flâner dans les jardins avec deux trois copains
On regarde passer les gens on s’invente leur vie
On s’imagine des romans, on rentre dans leur nid
Et pourtant y a des choses qu’on peut pas inventer
Qui se lisent dans les yeux, dans le corps, dans les mains
Des regards qui trompent pas
Qui trahissent souvent tout ces petits gens là
Ils ont des carapaces, on croise des vieux
Y en a des types pas bien qui marche en titubant
La bouteille à la main, le regard loin devant
Y en a des pathétiques avec leur canne blanche
Leurs manies et leur tics et leur mémoire qui flanche
Y en a des plein d’entrain l’air joyeux sportif
Qui ont pas perdu la main, qui sont toujours très vifs
Et y a les nostalgiques, les yeux plein de souvenirs
Un p’tit sourire magique, une larme de plaisir
Pis y a ceux qui jouent encore qui ont pas eu le temps d’vieillir
Qui ont dans leur coeur la certitude qu’ils ne vont pas partir
On croise des amoureux y en a main dans la main un type qu’est pas encore sûr
Cherchant tous les moyens pour avoir bonne allure
Y en a qui ont bien vécu, qui se regardent à peine
Qui font du m’as-tu-vu, qui doivent avoir de la peine
Et y a les passionnés qui se foutent des autres
Et qui ont déjà oublié qu’on est pas seul sur Terre
Et y a les romantiques certains que leur amour
Pourra passer des siècles sans excès de bravoure
Pis y a ceux qui sont déçus par une histoire qui s’achève
Qui regrettent de n’avoir eu tous les enfants de leurs rêves
On croise des touristes y en a qui s’extasie devant une statue
A croire que par chez eux ils n’en n’ont jamais vu
Y en a qui ont déjà tout fait mais qui reviennent encore
Qui cherchent à combler leur lacune du décor
Y en a qui connaissent tout mieux que n’importe qui
Qui loin de la tour Eiffel ne reconnaissent plus Paris
Y en a qui dropent manger sur leur guide touristique
Oublient de lever l’nez sur le Paris Mystique
Y a ceux qui ont compris comment suivre leur chemin
Qui s’arrêtent au Sans soucis pour écouter les musiciens
Quand le soleil s’en va éclairer d’autres villes
On rentre tout rempli de nos belles rêveries
On s’assoit un instant autour d’une bougie
Et c’est à ce moment là qu’on songe à nos jeunes vies
