Les paroles de la chanson
« Pardonne »
Miossec
Quand les coups de feu ont claqué rouge est devenu le plafond
Quand les sirènes ont hurlé toute la ville a fait un bond
Quand j’ai vu que ç’était perdu j’ai quand même avancé un pion
Quand on s’est enfin regardés nous n’étions plus si jeunes, si bons
Quand la neige a fondu tout est devenu marron
Quand la tempête s’est levée ce n’était plus le même horizon
Quand l’étang fut asséché il y avait une décharge au fond
Quand le soleil s’est couché les ombres ont soudain eu raison
Réveille-toi et ne vois-tu pas
Que la nuit est tombée et que je suis toujours là
Réveille-toi et ne vois-tu pas
Qu’on n’a plus vingt ans depuis longtemps déjà
Quand la brume s’est dissipée on a pu se voir pour de bon
Quand tes larmes ont coulé noir est devenu ton menton
Quand les arbres furent élagués on n’en vit plus que le tronc
Quand les blés furent coupés apparurent enfin les sillons
Réveille-toi et ne vois-tu pas
Que la nuit est tombée et que je suis toujours là
Réveille-toi et ne vois-tu pas
Qu’on n’a plus vingt ans depuis longtemps déjà
Quand la mer s’est retirée on a pu marcher sur le goémon
Quand ton ventre s’est mis à gonfler je t’ai demandé pardon
Quand les sirènes ont hurlé toute la ville a fait un bond
Quand j’ai vu que ç’était perdu j’ai quand même avancé un pion
Quand on s’est enfin regardés nous n’étions plus si jeunes, si bons
Quand la neige a fondu tout est devenu marron
Quand la tempête s’est levée ce n’était plus le même horizon
Quand l’étang fut asséché il y avait une décharge au fond
Quand le soleil s’est couché les ombres ont soudain eu raison
Réveille-toi et ne vois-tu pas
Que la nuit est tombée et que je suis toujours là
Réveille-toi et ne vois-tu pas
Qu’on n’a plus vingt ans depuis longtemps déjà
Quand la brume s’est dissipée on a pu se voir pour de bon
Quand tes larmes ont coulé noir est devenu ton menton
Quand les arbres furent élagués on n’en vit plus que le tronc
Quand les blés furent coupés apparurent enfin les sillons
Réveille-toi et ne vois-tu pas
Que la nuit est tombée et que je suis toujours là
Réveille-toi et ne vois-tu pas
Qu’on n’a plus vingt ans depuis longtemps déjà
Quand la mer s’est retirée on a pu marcher sur le goémon
Quand ton ventre s’est mis à gonfler je t’ai demandé pardon