Les paroles de la chanson
« Parce que (je t'aime) »
Barbara
C’est parce que ton épaule à mon épaule,
Ta bouche à mes cheveux
Et ta main sur mon cou,
C’est parce que, dans mes reins,
Quand ton souffle me frôle,
C’est parce que tes mains,
C’est parce que joue à joue,
C’est parce qu’au matin,
C’est parce qu’à la nuit,
Quand tu dis "viens", je viens.
Tu souris, je souris.
C’est parce qu’ici ou là,
Dans un autre pays,
Pourvu que tu y sois,
C’est toujours mon pays.
C’est parce que je t’aime
Que je préfère m’en aller.
C’est mieux, bien mieux, de se quitter
Avant que ne meure le temps d’aimer.
C’est parce que j’ai peur de voir s’endeuiller
Les minutes, les heures, les secondes passées,
C’est parce que je sais qu’il faut un presque rien
Pour défaire une nuit et se perdre au matin.
Je ne laisserai pas pencher sur notre lit
Ni l’ombre d’un regret, ni l’ombre d’un ennui.
Je ne laisserai pas mourir au fil des jours
Ce qui fut toi et moi, ce qui fut notre amour.
Pour qu’il ne soit jamais emporté par le temps,
Je l’emporte moi-même. Il restera vivant.
Oh laisse-moi, je t’aime
Mais je préfère m’en aller.
C’est mieux, tu sais, de se quitter
Avant que ne meure le temps d’aimer.
J’en ai vu, comme nous, qui allaient à pas lents
Et portaient leur amour comme on porte un enfant.
J’en ai vu, comme nous, qui allaient à pas lents
Et tombaient à genoux, dans le soir finissant.
Je les ai retrouvés, furieux et combattant
Comme deux loups blessés. Que sont-ils maintenant?
Ca, je ne veux pas. Je t’aime.
Je ne veux pas nous déchirer.
C’est mieux, tu sais, de nous quitter
Avant que ne meure le temps d’aimer.
C’est mieux, bien mieux, de nous quitter
Avant que ne meure le temps d’aimer...
Ta bouche à mes cheveux
Et ta main sur mon cou,
C’est parce que, dans mes reins,
Quand ton souffle me frôle,
C’est parce que tes mains,
C’est parce que joue à joue,
C’est parce qu’au matin,
C’est parce qu’à la nuit,
Quand tu dis "viens", je viens.
Tu souris, je souris.
C’est parce qu’ici ou là,
Dans un autre pays,
Pourvu que tu y sois,
C’est toujours mon pays.
C’est parce que je t’aime
Que je préfère m’en aller.
C’est mieux, bien mieux, de se quitter
Avant que ne meure le temps d’aimer.
C’est parce que j’ai peur de voir s’endeuiller
Les minutes, les heures, les secondes passées,
C’est parce que je sais qu’il faut un presque rien
Pour défaire une nuit et se perdre au matin.
Je ne laisserai pas pencher sur notre lit
Ni l’ombre d’un regret, ni l’ombre d’un ennui.
Je ne laisserai pas mourir au fil des jours
Ce qui fut toi et moi, ce qui fut notre amour.
Pour qu’il ne soit jamais emporté par le temps,
Je l’emporte moi-même. Il restera vivant.
Oh laisse-moi, je t’aime
Mais je préfère m’en aller.
C’est mieux, tu sais, de se quitter
Avant que ne meure le temps d’aimer.
J’en ai vu, comme nous, qui allaient à pas lents
Et portaient leur amour comme on porte un enfant.
J’en ai vu, comme nous, qui allaient à pas lents
Et tombaient à genoux, dans le soir finissant.
Je les ai retrouvés, furieux et combattant
Comme deux loups blessés. Que sont-ils maintenant?
Ca, je ne veux pas. Je t’aime.
Je ne veux pas nous déchirer.
C’est mieux, tu sais, de nous quitter
Avant que ne meure le temps d’aimer.
C’est mieux, bien mieux, de nous quitter
Avant que ne meure le temps d’aimer...