Les paroles de la chanson
« Paix »
Catherine Ribeiro
Paix à celui qui hurle parce qu’il voit clair
Paix à nos esprits malades, à nos coeurs éclatés
Paix à nos membres fatigués, déchirés
Paix à nos générations dégénérées
Paix aux grandes confusions de la misère
Paix à celui qui cherche en se frappant la tête
Contre des murs en béton
Paix au courroux de l’homme qui a faim
Paix à la haine, à la rage des opprimés
Paix à celui qui travaille de ses mains
Paix à cette nature qui nous a toujours
Donné le meilleur d’elle-même
Et dont chaque homme, quel qu’il soit, a besoin
Paix à nos ventres, grands réservoirs de poubelles académiques
Paix à vous mes amis, dont la tendresse m’est une nécessité
Paix et respect de la vie de chacun
Paix à la fascination du feu, paix au lever du jour
A la tombée de la nuit
Paix à celui qui marche sur les routes
Jusqu’aux horizons sans fin
Paix au cheval de labour
Paix aux âmes mal-nées qui enfantent des cauchemars
Paix aux rivières, aux mers, aux océans qui accouchent
De poissons luisants de gas-oil
Paix à toi ma mère, dont le sourire douloureux
S’efface auprès de tes enfants
Paix enfin à celui qui n’est plus et qui toute sa vie
A trimé attendant des jours meilleurs
Paix, paix...
Paix à nos esprits malades, à nos coeurs éclatés
Paix à nos membres fatigués, déchirés
Paix à nos générations dégénérées
Paix aux grandes confusions de la misère
Paix à celui qui cherche en se frappant la tête
Contre des murs en béton
Paix au courroux de l’homme qui a faim
Paix à la haine, à la rage des opprimés
Paix à celui qui travaille de ses mains
Paix à cette nature qui nous a toujours
Donné le meilleur d’elle-même
Et dont chaque homme, quel qu’il soit, a besoin
Paix à nos ventres, grands réservoirs de poubelles académiques
Paix à vous mes amis, dont la tendresse m’est une nécessité
Paix et respect de la vie de chacun
Paix à la fascination du feu, paix au lever du jour
A la tombée de la nuit
Paix à celui qui marche sur les routes
Jusqu’aux horizons sans fin
Paix au cheval de labour
Paix aux âmes mal-nées qui enfantent des cauchemars
Paix aux rivières, aux mers, aux océans qui accouchent
De poissons luisants de gas-oil
Paix à toi ma mère, dont le sourire douloureux
S’efface auprès de tes enfants
Paix enfin à celui qui n’est plus et qui toute sa vie
A trimé attendant des jours meilleurs
Paix, paix...